-
Soirée artistique à Tétouan en commémoration du 81ème anniversaire du Manifeste de l'Indépendance
-
Signature d’un partenariat pour la valorisation du patrimoine culturel immatériel
-
Des académiciens et experts saluent les acquis majeurs en faveur de l'amazigh
-
Aït Ourir célèbre la poésie amazighe lors d'une soirée artistique
Ce long métrage, le premier du cinéaste marocain, met en évidence la vie courante des jeunes d’une ville en mal d’expression. Le nouvel opus relate l’histoire pleine de péripéties du jeune Bahloul, qui souhaite faire quelque chose de bien dans sa vie, après une adolescence plutôt agitée. Mais une idée le taraude. Bien qu’il ait jeté son dévolu sur la comédie, Bahloul doit remplacer son père Kassem après que celui-ci eut pris sa retraite de sapeur-pompier. Un métier « ingrat » et « exigeant » qu’il déteste mais dont le film relate pourtant la noblesse.
Devenu sapeur-pompier, il brille par une indiscipline que tente de corriger le major de la caserne, Allal. Entre-temps, une histoire d’amour voit le jour entre le jeune rebelle et Hanane, sœur de son ami Majid, victime d’un viol.
Soulignons enfin qu’une projection du film a eu lieu lundi 16 novembre dernier, au Centre de réforme des enfants à la Maison d'arrêt de Oukacha, à Casablanca. Une démarche dont on peut apprécier la portée symbolique.
Cet opus d’une heure et demie (1h35), dont la sortie officielle dans les salles nationales est prévue pour le 2 décembre prochain, est le premier film produit par Valeur Sept Production.