-
À Sète, Mustapha Jmahri explique l’identité maritime d’El-Jadida
-
Journée culturelle bissau-guinéenne au Théâtre Mohammed V : Bonnes performances du groupe «Netos de Bandim» et de l'artiste musicien Binham Quimor
-
La diversité culturelle du Maroc célébrée au Village de la Francophonie à Paris
-
"Le plus grand mariage du monde", un spectacle célébrant les traditions marocaines le 7 décembre prochain à Casablanca
S’étant confirmé comme un espace nostalgique qui donne à réfléchir sur le commun qui a toujours rapproché religions et civilisations, le festival des Andalousies Atlantiques propose cette année encore un programme riche en rythmes, en histoire et en opportunités de dialogue, d’écoute et de réflexion collective sur l’héritage de la cité des vents qui « invite la culture au banquet de la pensée et du partage ».
Le bal devait être ouvert hier à Dar Souiri par « la Compania de Danza Flamenca » représentant la nouvelle école de flamenco de Séville, la danseuse Anabel Veloso et le chanteur Jeromo Segura.
Joseph et Daniel Afriat, Jacob «Coco» Tordjman, Houssam Guinia fils du grand Maalem Mahmoud et Abdelhak El Kaabe sont tous au rendez-vous d’une nouvelle expérience musicale où convergeront harmonieusement plusieurs écoles musicales.
Benjamin Bouzaglo, Rachid Ouchahed et les frères Abdellaoui, Nabila Maan et Zaineb Afailal, Sanaa Marahati,entre autres, rehausseront les moments musicaux programmés à Dar Souiri comme à la salle omnisports en fin de semaine à l’occasion de cette douzième édition qui propose aux mélomanes une variété de musiques et de chants où cohabiteront Melhoune, musique andalouse, Madih et Samaa et flamenco.