-
Les Etats-Unis autorisent un vaccin contre la grippe à s'administrer soi-même
-
Des pistes pour améliorer diagnostic et traitement des troubles de l'attention chez l'enfant
-
Les Etats-Unis accusent les géants des réseaux sociaux de "surveillance de masse"
-
Pêcher "moins et mieux": L'appel de scientifiques pour une pêche vraiment durable
-
Une collection de pièces de monnaie rapporte 14,8 millions d'euros aux enchères
Malheureusement pour la reine Bee, les critiques ne sont pas unanimes. Car Beyoncé, réalisatrice et productrice de ce documentaire en forme d'autoportrait, n'échapperait pas selon la presse américaine à un peu d'égocentrisme et de vanité.
Le Hollywood Reporter rapporte que le documentaire "offre principalement que de la platitude maquillée en réflexions philosophiques", pendant que Variety décrit "90 minutes ennuyeuses et un projet vaniteux qui mettra votre tolérance envers l'égo obsessionnel du show business à rude épreuve."
Toujours impeccablement maquillée et tirée à quatre épingles, ce que lui reproche d'ailleurs Entertainement Weekly, la reine Bee dévoile cependant son petit monde et offre quelques images rares comme celles de sa petite Blue Ivy , d'un karaoké avec son mari Jay-Z ou des images d'archives de sa jeunesse.
Mais le manque d'authenticité des scènes proposées n'a vraiment pas convaincu et The Atlantic Wire affirme même que "la vraie vie de Beyoncé est un concentré cauchemardesque d'égocentrisme". Quant à la presse française, elle n'est pas plus élogieuse, les Inrocks estimant que Bee fait semblant de se livrer : "Manquait donc, paradoxalement, à Beyoncé, pour parfaire son image parfaite, quelques failles, histoire de bien prouver son humanité (...) veut nous faire croire qu'elle se dévoile au grand jour."