Le 21 décembre, les partis indépendantistes remportent une majorité absolue en sièges au Parlement catalan, mais les unionistes obtiennent le plus grand nombre de voix.
Le 24 décembre, le roi Felipe VI a demandé aux nouveaux élus du Parlement catalan, en majorité indépendantiste, d'éviter un nouvel "affrontement".
Puigdemont a invité le gouvernement espagnol à le laisser rentrer à temps pour la séance inaugurale de la nouvelle législature catalane, le 23 janvier, afin qu'il puisse être élu à la présidence de la région.