A cet égard, « le Groupement des auteurs, réalisateurs, producteurs a la douleur de faire part du voyage de leur regretté camarade et collègue : Idriss Karim», lit-on dans un communiqué de presse relatif à cet événement tragique. Né le 25 avril 1938 à Tanger, le défunt a fait des études à l’Institut d’Art dramatique à Paris et à l’Ecole nationale supérieure du cinéma du théâtre et de la télévision de Lodz en Pologne. Il a été chef de la division « Cinéma et jeunesse» au Secrétariat d’Etat de la Jeunesse et des sports. L’ancien réalisateur et producteur à la Télévision marocaine RTM, l’actuelle SNRT, rejoint le Centre cinématographique marocain. Pue de temps après, précisément en 1970, il réalise un moyen-métrage documentaire sous le titre de « Les enfants du Haouz », basé sur une recherche de Paul Pacson. Cet opus a été saisi et remonté par le C .C.M. Ainsi, sa durée s’est-elle vue corrigée à la baisse : réduite de 40 mn à 22 mn. Suite à cela, Idriss décide de quitter le Maroc et s’installe définitivement en France où il a été inhumé hier.
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Le cinéaste marocain Idriss Karim n’est plusVendredi 30 Janvier 2009
Mauvaise nouvelle ! Idriss Karim, l’un des pionniers du 7 ème art national, n’est plus. Peu connu du grand public, le regretté cinéaste est décédé à Paris le 26 janvier 2009 terrassé par un infarctus foudroyant. Les obsèques ont eu lieu à Paris le 29 janvier 2009. Nous sommes à Allah et à lui nous retournons!
A cet égard, « le Groupement des auteurs, réalisateurs, producteurs a la douleur de faire part du voyage de leur regretté camarade et collègue : Idriss Karim», lit-on dans un communiqué de presse relatif à cet événement tragique. Né le 25 avril 1938 à Tanger, le défunt a fait des études à l’Institut d’Art dramatique à Paris et à l’Ecole nationale supérieure du cinéma du théâtre et de la télévision de Lodz en Pologne. Il a été chef de la division « Cinéma et jeunesse» au Secrétariat d’Etat de la Jeunesse et des sports. L’ancien réalisateur et producteur à la Télévision marocaine RTM, l’actuelle SNRT, rejoint le Centre cinématographique marocain. Pue de temps après, précisément en 1970, il réalise un moyen-métrage documentaire sous le titre de « Les enfants du Haouz », basé sur une recherche de Paul Pacson. Cet opus a été saisi et remonté par le C .C.M. Ainsi, sa durée s’est-elle vue corrigée à la baisse : réduite de 40 mn à 22 mn. Suite à cela, Idriss décide de quitter le Maroc et s’installe définitivement en France où il a été inhumé hier. L B
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