Le secrétaire général de l'Organisation de la coopération islamique (OCI), Hissein Brahim Taha, a souligné, mercredi à Djeddah, l'importance de la culture en tant que levier de développement global des pays islamiques et comme "soft power" qui rapproche les cultures du monde.
S'adressant à la 13ème Conférence islamique des ministres de la Culture sur le thème "L'impact de la culture sur le développement socio-économique", M. Taha a indiqué que la culture jette des ponts de compréhension et de fraternité, promeut les valeurs humaines des sociétés et contribue à créer des espaces de rencontre et d'échange de vues sur les questions importantes pour les pays membres de l'Organisation, en particulier celles relatives au développement humain.
Le travail culturel dans son concept global représente un outil pour la promotion des valeurs islamiques intemporelles basées sur la science et la dignité humaine, la consolidation du patrimoine culturel islamique et l'échange des expériences en matière de créativité et d'innovation culturelle, artistique et scientifique, a-t-il noté.
Au-delà de l'expression de l'individualité et des identités nationales, la culture dans sa conception contemporaine a la capacité d'influencer directement et indirectement l'identité économique des pays à travers la promotion du tourisme culturel, le soutien aux industries culturelles et créatives et la création de systèmes durables de croissance économique, a fait remarquer le SG de l'OCI.
Cet impact, a-t-il ajouté, se traduit aussi par le renforcement de la compétitivité des pays sur les marchés mondiaux et la consolidation des spécificités nationales grâce à des produits qui reflètent la culture, l'histoire et la civilisation des pays, constituent un attrait pour les investissements internationaux et contribuent à stimuler les exportations.
A cet égard, M. Taha a expliqué que les arts, la culture et le tourisme culturel sont devenus des pôles industriels autonomes qui nécessitent des capitaux, des mécanismes de commercialisation et un personnel qualifié capable de transformer les produits culturels en une importante valeur ajoutée au PIB et en un mécanisme de promotion de la civilisation des pays.
Le soutien aux industries culturelles et créatives devrait faire partie intégrante de la vision relative à la diffusion et la rénovation de la culture islamique et la mise en valeur de ses apports dans les domaines de la littérature, des arts, de la science, de la technologie de la communication, a insisté le SG de l'OCI.
S'adressant à la 13ème Conférence islamique des ministres de la Culture sur le thème "L'impact de la culture sur le développement socio-économique", M. Taha a indiqué que la culture jette des ponts de compréhension et de fraternité, promeut les valeurs humaines des sociétés et contribue à créer des espaces de rencontre et d'échange de vues sur les questions importantes pour les pays membres de l'Organisation, en particulier celles relatives au développement humain.
Le travail culturel dans son concept global représente un outil pour la promotion des valeurs islamiques intemporelles basées sur la science et la dignité humaine, la consolidation du patrimoine culturel islamique et l'échange des expériences en matière de créativité et d'innovation culturelle, artistique et scientifique, a-t-il noté.
Au-delà de l'expression de l'individualité et des identités nationales, la culture dans sa conception contemporaine a la capacité d'influencer directement et indirectement l'identité économique des pays à travers la promotion du tourisme culturel, le soutien aux industries culturelles et créatives et la création de systèmes durables de croissance économique, a fait remarquer le SG de l'OCI.
Cet impact, a-t-il ajouté, se traduit aussi par le renforcement de la compétitivité des pays sur les marchés mondiaux et la consolidation des spécificités nationales grâce à des produits qui reflètent la culture, l'histoire et la civilisation des pays, constituent un attrait pour les investissements internationaux et contribuent à stimuler les exportations.
A cet égard, M. Taha a expliqué que les arts, la culture et le tourisme culturel sont devenus des pôles industriels autonomes qui nécessitent des capitaux, des mécanismes de commercialisation et un personnel qualifié capable de transformer les produits culturels en une importante valeur ajoutée au PIB et en un mécanisme de promotion de la civilisation des pays.
Le soutien aux industries culturelles et créatives devrait faire partie intégrante de la vision relative à la diffusion et la rénovation de la culture islamique et la mise en valeur de ses apports dans les domaines de la littérature, des arts, de la science, de la technologie de la communication, a insisté le SG de l'OCI.
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"Nos spiritualités en partage : entre éthique et esthétique"
