Le remake Henri Michel-Raja n'a duré que le temps de cinq journées. Le technicien français a jeté, hier, l'éponge, confirmant un départ qui se dessinait depuis quelques jours.
Le communiqué officiel du club rapporte que "l'ensemble des joueurs ont présenté leur soutien à l'entraîneur pour qu'il reste à la tête de l'équipe, mais celui-ci est resté sur sa décision et n'a pas dirigé l'entraînement de mercredi matin ".
Il faut dire que le Raja, vice-champion du Maroc, qui s'est renforcé à coup de millions, se targuant de disposer de l'effectif le plus étoffé du concours, éprouve après cinq manches de compétitions toutes les peines du monde s'exprimer sur l'aire du jeu. Au niveau des résultats, le Raja a signé deux victoires contre deux défaites et un match nul. Il occupe la cinquième place au classement général avec sept points au compteur, soit quatre longueurs de retard, sur le Wydad, leader.
Doit-on faire porter le chapeau au seul Henri Michel qui avait déjà coaché le Raja (2003-2004) avec à la clé un titre de Coupe de la CAF ? Seuls les résultats à venir confirmeront ou infirmeront cette thèse. En tout cas, le Raja a rejoint le lot des clubs sans coache, à savoir le WAC, le KACM ou encore le DHJ.
Pour les Verts, selon notre source, il y a des noms qui circulent et le premier à intéresser les Rajaouis est M'Hamed Fakhir, qui vient d'être remercié par le club tunisien de l'Etoile Sportive du Sahel. Pour le cas de Madih, ce n'est pas du tout évident. Toujours d'après notre source, l'entraîneur marocain qui a été lui aussi congédié par le club qatari d'Al Wakra, après deux saisons et demie à la tête de cette formation, il lui serait difficile de rejoindre le Raja dans les plus brefs délais. Il devra attendre sa lettre de sortie qui risque de tarder de deux mois et apparemment les dirigeants rajaouis ne sont pas près de vivre le scénario de l'équipe nationale qui attend l'arrivée du sélectionneur Eric Gerets, toujours en poste avec la formation saoudienne d'Al Hilal.
Une réunion du comité devait avoir lieu hier en début de soirée pour statuer sur cette affaire.
Le communiqué officiel du club rapporte que "l'ensemble des joueurs ont présenté leur soutien à l'entraîneur pour qu'il reste à la tête de l'équipe, mais celui-ci est resté sur sa décision et n'a pas dirigé l'entraînement de mercredi matin ".
Il faut dire que le Raja, vice-champion du Maroc, qui s'est renforcé à coup de millions, se targuant de disposer de l'effectif le plus étoffé du concours, éprouve après cinq manches de compétitions toutes les peines du monde s'exprimer sur l'aire du jeu. Au niveau des résultats, le Raja a signé deux victoires contre deux défaites et un match nul. Il occupe la cinquième place au classement général avec sept points au compteur, soit quatre longueurs de retard, sur le Wydad, leader.
Doit-on faire porter le chapeau au seul Henri Michel qui avait déjà coaché le Raja (2003-2004) avec à la clé un titre de Coupe de la CAF ? Seuls les résultats à venir confirmeront ou infirmeront cette thèse. En tout cas, le Raja a rejoint le lot des clubs sans coache, à savoir le WAC, le KACM ou encore le DHJ.
Pour les Verts, selon notre source, il y a des noms qui circulent et le premier à intéresser les Rajaouis est M'Hamed Fakhir, qui vient d'être remercié par le club tunisien de l'Etoile Sportive du Sahel. Pour le cas de Madih, ce n'est pas du tout évident. Toujours d'après notre source, l'entraîneur marocain qui a été lui aussi congédié par le club qatari d'Al Wakra, après deux saisons et demie à la tête de cette formation, il lui serait difficile de rejoindre le Raja dans les plus brefs délais. Il devra attendre sa lettre de sortie qui risque de tarder de deux mois et apparemment les dirigeants rajaouis ne sont pas près de vivre le scénario de l'équipe nationale qui attend l'arrivée du sélectionneur Eric Gerets, toujours en poste avec la formation saoudienne d'Al Hilal.
Une réunion du comité devait avoir lieu hier en début de soirée pour statuer sur cette affaire.
Tirage au sort de la CAN Maroc-2025
