Le Raja de Casablanca est en droit de se targuer de la neuvième étoile désormais frappée sur son maillot. A une journée de la fin du championnat de première division du Groupement national de football élite (GNFE I), les Verts ont mis un terme au suspense, coiffant au poteau les autres clubs prétendants au titre. Samedi au stade Bachir à Mohammedia, ils n’avaient besoin que d’un petit point pour s’adjuger le sacre ; ils ont fait mieux, en s’offrant le Chabab par un à zéro, but de Omar Nejdi. Une victoire qui a comblé de bonheur les Rajaouis, et propulsé le SCCM officiellement en seconde division.
Il faut dire que ce n’était pas gagné d’avance pour un Raja qui avait entamé l’exercice du mauvais pied. Contrairement à d’autres gros calibres, les FAR, le WAC et le DHJ, qui ont annoncé la couleur d’entrée, jouant à fond leurs chances en vue de décrocher le jackpot.
Après avoir raté leur participation en Ligue arabe des clubs champions et leur élimination prématurée en Coupe du Trône, les protégés de Jose Romao, nullement abattus, se sont concentrés sur le seul tableau qu’il leur restait : le championnat national qu’ils n’avaient plus gagné depuis la saison 2004-2005.
Avec un effectif hétéroclite, composé de vieux routiers, de jeunes et de nouveaux venus, sans oublier le revenant Mohamed Armoumen, le staff technique des Verts a su remettre la machine en marche depuis l’entame de la deuxième moitié de l’exercice. Ainsi, dès la seizième journée, le Raja s’est accaparé les commandes pour ne plus lâcher prise, négociant avec intelligence l’ensemble de ses matches, en dépit de quelques déconvenues dont la plus en vue reste la défaite au derby.
Sur 29 matches disputés, les partenaires du capitaine Abdellatif Jrindou ont fait pratiquement le plein. Parvenant à s’imposer à seize reprises, contre dix issues de parité et seulement trois défaites, soit un butin de 58 unités au compteur. Leur dernier match du championnat, dont la date n’a pas encore été fixée, sera, bien entendu, formel contre le Hassania d’Agadir. Formel certes, mais il sera l’occasion pour toutes les composantes de l’équipe de fêter ce titre à domicile devant leur public qui ne manquera certainement pas ce rendez-vous.
Le Raja de Casablanca a plié donc sur une bonne note la page 2008-2009. C’est un cap de franchi, mais il y a bien d’autres qui pointent à l’horizon. Hormis le titre de champion du Maroc à défendre, ce qui ne sera pas une mince affaire, les Rajaouis renoueront avec la compétition continentale où ils représenteront les couleurs nationales en Ligue africaine des clubs champions, manifestation « Officielle » et majeure que les Verts avaient remportée trois fois.
Pour l’édition 2009-2010 de cette C1 africaine, le Raja, tout comme l’autre club qui terminera deuxième du championnat local, le public marocain s’attend à ce que les représentants du terroir fassent bonne figure et puissent jouer les premiers rôles dans cette épreuve dont le lauréat représentera le football africain dans le Mondial FIFA des clubs.
Il faut dire que ce n’était pas gagné d’avance pour un Raja qui avait entamé l’exercice du mauvais pied. Contrairement à d’autres gros calibres, les FAR, le WAC et le DHJ, qui ont annoncé la couleur d’entrée, jouant à fond leurs chances en vue de décrocher le jackpot.
Après avoir raté leur participation en Ligue arabe des clubs champions et leur élimination prématurée en Coupe du Trône, les protégés de Jose Romao, nullement abattus, se sont concentrés sur le seul tableau qu’il leur restait : le championnat national qu’ils n’avaient plus gagné depuis la saison 2004-2005.
Avec un effectif hétéroclite, composé de vieux routiers, de jeunes et de nouveaux venus, sans oublier le revenant Mohamed Armoumen, le staff technique des Verts a su remettre la machine en marche depuis l’entame de la deuxième moitié de l’exercice. Ainsi, dès la seizième journée, le Raja s’est accaparé les commandes pour ne plus lâcher prise, négociant avec intelligence l’ensemble de ses matches, en dépit de quelques déconvenues dont la plus en vue reste la défaite au derby.
Sur 29 matches disputés, les partenaires du capitaine Abdellatif Jrindou ont fait pratiquement le plein. Parvenant à s’imposer à seize reprises, contre dix issues de parité et seulement trois défaites, soit un butin de 58 unités au compteur. Leur dernier match du championnat, dont la date n’a pas encore été fixée, sera, bien entendu, formel contre le Hassania d’Agadir. Formel certes, mais il sera l’occasion pour toutes les composantes de l’équipe de fêter ce titre à domicile devant leur public qui ne manquera certainement pas ce rendez-vous.
Le Raja de Casablanca a plié donc sur une bonne note la page 2008-2009. C’est un cap de franchi, mais il y a bien d’autres qui pointent à l’horizon. Hormis le titre de champion du Maroc à défendre, ce qui ne sera pas une mince affaire, les Rajaouis renoueront avec la compétition continentale où ils représenteront les couleurs nationales en Ligue africaine des clubs champions, manifestation « Officielle » et majeure que les Verts avaient remportée trois fois.
Pour l’édition 2009-2010 de cette C1 africaine, le Raja, tout comme l’autre club qui terminera deuxième du championnat local, le public marocain s’attend à ce que les représentants du terroir fassent bonne figure et puissent jouer les premiers rôles dans cette épreuve dont le lauréat représentera le football africain dans le Mondial FIFA des clubs.
Tirage au sort de la CAN Maroc-2025
