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Le dimanche 16 juillet, le Polisario qui se vante d’avoir réussi un coup contre le Maroc fait un grand tapage autour de l’arrestation de 19 présumés narcotrafiquants marocains. Ses dirigeants ne pensaient pas qu’ils allaient se retrouver dans une situation peu enviable qui les mettrait en porte-à-faux non seulement avec les généraux algériens mais aussi à l’égard de la MINURSO et l’ensemble Tekna dont sont originaires ces éleveurs.
Contrairement aux allégations du Polisario qui accuse à tort et sans preuve matérielle ces Marocains de servir de mules pour un prétendu réseau de trafic de drogue, il s’est avéré que ces 19 Sahraouis originaires des provinces du Sud du Royaume s’étaient égarés, selon leurs familles, en allant rechercher un fragment de météorite tombé à proximité de la frontière algérienne, à quelques encablures du mur de défense marocain.
D’après la version de ces familles qui accusent le Polisario d’avoir monté de toutes pièces cette affaire pour salir l’image du Maroc, les dix-neuf jeunes n’ont rien à voir avec le trafic de stupéfiants et ne font pas la mule, comme le prétend le Polisario. Ces Marocains étaient allés rechercher des fragments d’une météorite avant d’être arrêtés dans une localité de la zone démilitarisée contrôlée par les milices du Polisario.
La direction du Polisario s’est donc retrouvée devant un dilemme suite au refus des généraux algériens de la présence des 19 ressortissants marocains sur leur sol, et le refus de la mission de l’ONU au Sahara «MINURSO» d’intervenir dans cette affaire soulignant, à juste titre, qu’il s’agit de civils n’ayant aucun rapport avec sa mission de contrôle du cessez-le-feu au Sahara.
Pour sa part, l’Interpol a rejeté la demande du Polisario de prendre le dossier des accusés. Refus que l’organisation internationale a justifié par le fait qu’aucun mandat international n’était lancé contre les 19 Marocains et que le Polisario n’a apporté aucune preuve du délit dont il les accuse.
La tribu Aït Brahim connue pour être l’une des plus pacifiques de l’ensemble Tekna et qui a toujours su préserver son mode ancestral de vie nomade et jouit du soutien des autres tribus sahraouies au Maroc et à Tindouf, était abasourdie par la nouvelle de l’arrestation de ses membres accusés par le Polisario de «trafic de drogue».
Ne sachant que faire des dix-neuf jeunes Marocains arrêtés à tort, le Polisario compte organiser un simulacre de procès en les présentant devant un tribunal fictif, indique le site Futuro Sahara proche des faucons du Front, qui précise que c’est dans la localité de Mijek, contrôlée par le Polisario non loin du mur de défense marocain, que le procès se déroulera.