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D’après l’Organisation des Nations unies de lutte contre la drogue et le crime (ONUDC), les décès par overdoses se chiffraient à 585.000 dans le monde en 2017. Un chiffre parlant mais qui exclut a priori le Maroc. Et pour cause, lesdites associations regrettent également dans leur communiqué «l’absence de données concernant le nombre de décès liés aux overdoses. D’autant plus que celles du terrain montrent que ce nombre n’est pas négligeable, et notamment dans les régions du Nord». D’où leur seconde revendication, à savoir l’élaboration des outils et systèmes permettant la collecte de données sur les causes des décès liés aux overdoses.
Outre les deux revendications précitées, il y en a une autre relative à la formation et la sensibilisation du personnel de santé ainsi que les intervenants communautaires au sujet des overdoses, tout en mettant l’accent sur trois aspects capitaux : Le diagnostic, la prévention et la prise en charge.
Par ailleurs, le communiqué rappelle que la célébration de la Journée internationale de prévention des overdoses, le 31 août de chaque année, s’inscrit dans le cadre des activités des trois associations destinées, d’une part, à réduire les risques auprès des personnes usagères de drogues (PUD) et d’autre part, à défendre les droits des PUD contre les politiques de drogue qui les stigmatisent, comme en témoigne l’action «Support, Don’t Punish». Cette action est considérée comme « une mobilisation contre les politiques de drogues stigmatisant les PUD et qui entravent leur droit à la santé, selon une approche santé inclusive basée sur le respect des principes universels des droits humains », conclut le communiqué.