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Le premier qui sera présenté dès la semaine prochaine, vise à exonérer les citoyens nécessiteux résidant dans les bidonvilles et qui ont bénéficié de programmes sociaux de l’Etat, des taxes communales et celles relatives à la construction.
Si le projet de loi de l’USFP est adopté, précise Ahmed Zaidi, ce sont des centaines de milliers de citoyens qui devront en profiter.
Le deuxième projet de loi, a-t-il ajouté, concerne la création d’une instance des affaires d’Etat qui aura pour rôle de protéger le service public des failles et risques juridiques à travers ses propositions et conseils. Ce projet, rappelle-t-on, qui va dans le sens des dispositions de la nouvelle Constitution, particulièrement l’article 159, s’inscrit dans le cadre de la lutte contre la prévarication et en faveur de la moralisation de la vie publique et de la consolidation des valeurs d’intégrité et de transparence dans la gestion des affaires publiques. Principes pour lesquels l’USFP a longtemps milité.
Outre les réunions du bureau de la Chambre des représentants et des présidents des Groupes parlementaires, les commissions ont repris tôt, elles aussi, leurs travaux, a fait savoir Ahmed Zaidi. La dernière réunion de la commission des secteurs sociaux qui a été consacrée à la médiocre participation marocaine aux Jeux olympiques de Londres a été l’occasion pour soulever un ensemble de questions sur la constitutionnalité de la convocation des présidents des Fédérations sportives en vue de s’expliquer devant les membres d’une commission parlementaire, a-t-il poursuivi.
Le président du Groupe socialiste a dénoncé l’attitude du ministre concerné qui, sans se soucier du piètre bilan de la délégation marocaine aux JO, a préféré tenir une conférence de presse avant de venir s’exprimer devant les députés. Pour se justifier, le ministre avait souligné, de manière maladroite, que la priorité est accordée à la tenue de la conférence avant l’examen de cette question au Parlement. Car, selon lui, à travers les journalistes, il s’adressait au peuple marocain.
Le ministre a déclaré, devant l’étonnement de tous les membres de la commission des secteurs sociaux, que depuis 1998, le Maroc ne disposait d’aucune vision claire concernant le secteur du sport. Pourquoi 1998 ? La référence à cette date n’est pas sans susciter moult interrogations et devrait déboucher, à coup sûr, sur des réactions amplement justifiées.