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«J'étais récemment au Maroc et je confirme que les partis politiques d'opposition ont une bonne vision de l'Algérie tout comme ils ont condamné l'acte commis par le jeune Marocain qui a arraché le drapeau tricolore», a souligné M. Betatache, cité par le quotidien algérien Liberté.
«Il est de la tradition de l'Algérie d'entretenir de bonnes relations avec ses voisins», a-t-il estimé.
Le premier secrétaire du Front des forces socialistes avait appelé, en novembre dernier, à «une véritable unité du Maghreb, fondée sur le respect mutuel et la coopération'', expliquant que cette démarche permettra de «réduire les risques de déstabilisation ciblant cette région''. Lors de sa récente participation à Marrakech à une rencontre des députés et chefs de partis socialistes des deux rives de la Méditerranée, Ahmed Betatache avait vivement déploré la fermeture des frontières entre le Maroc et l'Algérie, la qualifiant de «non-sens» et «d'affront» à la mémoire des nationalistes et des leaders de la lutte pour l'indépendance dans les pays du Maghreb, qui avaient pour ambition d'ériger une «Union fédérale maghrébine».
Ce qui ne semble agréer ni le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, ni le président de l'Assemblée populaire nationale, Mohamed Larbi Ould Khelifa.
Dans un entretien accordé à la chaîne «France 24», M. Lamamra a, en effet, souligné que «cette question concerne le principe algérien qui veut que les frontières algéro-marocaines ne seront rouvertes qu'une fois disparues les causes à l'origine de leur fermeture. A ce moment-là, les choses reprendront leur cours normal».
Pour sa part, le président de l’APN algérienne a lié la question de l’édification de l’UMA à celle de nos provinces sahariennes, en indiquant dimanche devant un parterre d’ONG que « de nombreux obstacles seront levés au Maghreb avec un règlement rapide du dossier du Sahara ».