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Premier Forum parlementaire annuel pour l'égalité et la parité
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La souveraineté de l'industrie nationale mise à mal
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La retraite du CDH à Rabat, un conclave de réflexion et d’échange sur l’état et le devenir du Conseil
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Le rôle de la communauté internationale dans la promotion des droits de l’enfant palestinien, au centre d'une conférence à Amman
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Le CESE préconise l'instauration d'un système obligatoire unifié entre les différents régimes d'assurance maladie
Cette décision a été prise alors que l’Algérie et ses acolytes avaient manœuvré pour faire adopter un document concocté dans l’objectif de permettre une participation large à tous les sommets des partenariats de l’Union africaine, en violation flagrante des décisions des Chefs d’Etat africains encadrant cette participation.
La réaction ferme d’un grand nombre de pays africains dont le Maroc, a fait avorter cette manœuvre.
En effet et malgré les agissements tendancieux d’un petit nombre de pays, le Conseil exécutif de l’Union africaine a décidé de renvoyer l’examen de ce projet de stratégie aux instances délibérantes de l’Union, en collaboration étroite avec la Commission de l’Union africaine, y compris pour ce qui est des questions de participation et de classification des partenariats de l’Union africaine.
Le Conseil exécutif de l’Union africaine devait poursuivre jeudi à Addis-Abeba, les travaux de sa 42ème session ordinaire avec la participation du Maroc, en prélude au Sommet de l'Union prévu les 18 et 19 février courant.
Le Maroc est représenté à cette session par le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita.