Le championnat national de football de 2ème division (D2) n'a pas été clément avec le nouveau promu, le Chabab Atlas Khénifra (CAK), qui n'aura passé qu'une petite saison au sein de l'élite.
Certes, l'équipe zayanie n'a pas démérité, comme en témoigne son parcours lors de la phase de l'aller. Les poulains de Fouad Sahabi sont restés attachés à l'espoir "mince" du maintien jusqu'à la dernière minute de la 38è et ultime journée, même s'ils n'étaient pas maîtres de leur destin.
Pourtant le CAK, qui a bien démarré la saison et était bien placé au terme de la première moitié du championnat, disposait des moyens et atouts pour bien assurer son maintien, à en croire des observateurs de la scène sportive locale. Plusieurs facteurs, soulignent-t-ils, ont été à l'origine de cette relégation que le public zayani n'arrive pas encore à digérer. Changements d'entraineurs, manque d'un terrain répondant aux normes en vigueur, ce qui a contraint l'équipe à "recevoir" durant toute la saison en dehors de ses bases, outre "des erreurs de gestion administrative" qui ont privé le club de 2 points précieux, restent les principaux facteurs qui ont conduit le club à la relégation.
Une question légitime revient d'ores et déjà comme un leitmotiv et se pose avec acuité lors des débats entre les funs et les supporters du CAK: Qu'en est-t-il de l'avenir de l'équipe ? Devant le fait accompli, il est temps donc que toutes les bonnes volontés et tout le monde sportif de Khénifra se mobilisent autour de leur "chère" équipe et se penchent sur la restructuration du club sur des bases solides car la relégation n'est jamais synonyme de la fin d'une équipe.
Place également au bilan et à l'évaluation de cette "malheureuse expérience" en D2 afin d'en tirer les enseignements nécessaires, redresser la situation, repenser la politique de gestion du club et relancer l'équipe sur de bons rails pour renouer avec la montée au sein de l'élite du football national.
La cité des Zayanes connaît une dynamique de développement sans précédent à la faveur d'un programme de mise à niveau, lancé par SM le Roi Mohammed VI en 2008 et qui touche différents secteurs. L'infrastructure sportive n'est pas en reste dans ce programme qui prévoit, entre autres, le réaménagement du stade municipal actuel, pour plus de 6 millions de dirhams.
Certes, l'équipe zayanie n'a pas démérité, comme en témoigne son parcours lors de la phase de l'aller. Les poulains de Fouad Sahabi sont restés attachés à l'espoir "mince" du maintien jusqu'à la dernière minute de la 38è et ultime journée, même s'ils n'étaient pas maîtres de leur destin.
Pourtant le CAK, qui a bien démarré la saison et était bien placé au terme de la première moitié du championnat, disposait des moyens et atouts pour bien assurer son maintien, à en croire des observateurs de la scène sportive locale. Plusieurs facteurs, soulignent-t-ils, ont été à l'origine de cette relégation que le public zayani n'arrive pas encore à digérer. Changements d'entraineurs, manque d'un terrain répondant aux normes en vigueur, ce qui a contraint l'équipe à "recevoir" durant toute la saison en dehors de ses bases, outre "des erreurs de gestion administrative" qui ont privé le club de 2 points précieux, restent les principaux facteurs qui ont conduit le club à la relégation.
Une question légitime revient d'ores et déjà comme un leitmotiv et se pose avec acuité lors des débats entre les funs et les supporters du CAK: Qu'en est-t-il de l'avenir de l'équipe ? Devant le fait accompli, il est temps donc que toutes les bonnes volontés et tout le monde sportif de Khénifra se mobilisent autour de leur "chère" équipe et se penchent sur la restructuration du club sur des bases solides car la relégation n'est jamais synonyme de la fin d'une équipe.
Place également au bilan et à l'évaluation de cette "malheureuse expérience" en D2 afin d'en tirer les enseignements nécessaires, redresser la situation, repenser la politique de gestion du club et relancer l'équipe sur de bons rails pour renouer avec la montée au sein de l'élite du football national.
La cité des Zayanes connaît une dynamique de développement sans précédent à la faveur d'un programme de mise à niveau, lancé par SM le Roi Mohammed VI en 2008 et qui touche différents secteurs. L'infrastructure sportive n'est pas en reste dans ce programme qui prévoit, entre autres, le réaménagement du stade municipal actuel, pour plus de 6 millions de dirhams.
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