"La Fifa a décidé d'attribuer le Mondial à des pays qui n'ont jamais accueilli de compétition. C'est une option prise en fonction de nouveaux marchés", a déclaré le responsable portugais, dont le pays était candidat avec l'Espagne à organiser la Coupe du monde 2018.
"C'est une option légitime que nous devons respecter et comprendre. La candidature ibérique était la meilleure et il semble qu'elle se soit retrouvée finaliste avec celle de la Russie", a-t-il ajouté.
Pour le président de la Fédération portugaise de football (FPF), Gilberto Madail, cette décision traduit "la volonté politique du comité exécutif de la Fifa de porter le championnat du monde vers l'Est et le Moyen-Orient".
"Je ne m'attendais pas à ce que notre candidature échoue, a dit Madail. Mais nous avons la conscience tranquille, car nous avons fait de notre mieux dans les limites du fair-play sportif", a-t-il souligné, ajoutant qu'il espérait profiter de ce projet pour "resserrer les liens avec la Fédération espagnole".