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Les autorités s'étant rendu compte de ce fait, ont diffusé sur les antennes de la télévision régionale, un communiqué indiquant que les services de la wilaya ont découvert que plusieurs transactions foncières ont été effectuées sur la base de documents falsifiés et qu'il était demandé aux éventuels acquéreurs de s'assurer de l'authenticité des documents pour ne pas être victimes d'escroquerie.
Maoulaïnine fait partie de ceux qui ont acheté l'une des maisons du quartier Al-Wifak.
Malheureusement pour lui, le vendeur de la maison n'en était pas propriétaire et la vente n’était pas légale. Ne sachant à quel saint se vouer, Maoulïnine alla voir l'un des responsables locaux lui demandant de l'aider à résoudre ce problème. Ce dernier lui répondit qu'il ne pouvait rien pour lui. Il menaça alors de s'immoler par le feu. Il en informa l'un de ses proches de son intention, acheta un bidon d'essence avant de se hisser sur le toit de la maison, objet du litige. Au moment où il tentait de mettre le feu à l'essence dont il s'était imbibé, des éléments de la Protection civile et des forces de l'ordre informés par le parent du vrai faux candidat à l'immolation, intervinrent, mettant ainsi fin à une situation qui aurait pu être dramatique.
Maoulaïnine avait-il réellement l'intention de mettre sa menace à exécution ou s'agissait-il tout simplement d'un bluff ? Seul Maoulaïnine est en mesure de répondre à cette question. Néanmoins, force est de remarquer qu'on n'a pas généralement besoin d'informer de tierces personnes de sa décision de s'immoler par le feu, et encore moins un parent, avant de se suicider.
Par ailleurs, la wilaya de Laâyoune a diffusé un communiqué pour informer les citoyens que ses services ne sont plus en mesure de recevoir tous ceux qui ont des doléances à formuler. Par conséquent, il est demandé aux citoyens de s'adresser aux différentes annexes administratives qui, après étude des dossiers qui leur sont soumis, les transmettront à leur tour à la wilaya en vue de prendre les mesures nécessaires les concernant.
Ce communiqué a été adressé à la presse, suite à l'intrusion d'un groupe de femmes dans l'enceinte de la wilaya, après avoir bousculé les gardes chargés de la surveillance de l'édifice.