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Vendredi matin, des tirs sporadiques étaient encore entendus à Gao, au lendemain de ces violents combats. L’armée a rappelé le déroulement des évènements: «A Gao, en fin de matinée, des échanges de tir ont eu lieu en ville entre les forces armées maliennes et des groupes terroristes infiltrés. Ces derniers se sont retranchés dans l’hôtel administratif de la mairie et du palais de justice», avant d’être délogés par les forces maliennes appuyées par l’armée française venue à la rescousse.
Le Mujao a affirmé à l’AFP avoir envoyé des hommes dans cette ville, sans en préciser le nombre, en assurant que «la bataille» ne faisait que commencer pour reconquérir le vaste Nord malien, en majorité désertique, incluant la mythique cité de Tombouctou (nord-ouest).
Par ailleurs, jeudi à Kidal, à 1.500 km au nord-est de Bamako, «un véhicule s’est élancé dans la cour d’une maison transformée en dépôt de carburant civil et située à proximité de l’aéroport», a confirmé l’état-major, provoquant une explosion et causé la mort du gardien de la maison et du terroriste à son bord.