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«Odes Eternelles» est l’intitulé qu’a choisi l’association des ambassadeurs de la musique andalouse marocaine en France pour son premier spectacle de la saison, jeudi soir au théâtre de la Tour Eiffel à Paris.
Le temps d’une soirée où l’écho lointain des palais andalous s’est joint aux mélodies envoûtantes des Nawbas sublimées par les grands maîtres marocains de Tarab Al Ala, les jeunes prodiges de l’association parisienne ont emporté le public dans un voyage au cœur d’un répertoire riche et vibrant, témoin d’un âge d’or et de lumière où l’art, le savoir et la spiritualité n’en faisaient qu’un.
De la nawbat Raml Al Maya, dédiée au panégyrique du Prophète Sidna Mohamed, au répertoire populaire de l’école de Tétouan, légué par feu Abdessadek Chekkara, en passant par les incantations des grands maîtres soufis, dont Al Fiyachiya, les cinquante musiciens et choristes de l’association ont rivalisé de sonorités innovantes et de chants toniques donnant ainsi une cure de jouvence à ces mélodies séculaires que les Marocains se font le devoir et l’honneur de préserver et de transmettre de génération en génération.
Dans une déclaration à la MAP, le président de l’association, Samir Majdoub, a indiqué qu’après avoir conquis les scènes de l’UNESCO et de l’Institut du monde arabe, les ambassadeurs de la musique andalouse marocaine en France se produisent au Théâtre de la Tour-Eiffel, pour «une soirée ramadanesque où se mêlent les splendeurs sonores de notre patrimoine marocain de Tarab Al Ala et les chants mystiques du Samaa Soufi».
Il a rappelé que l’association fondée en 2020 par un groupe d’étudiants, de jeunes cadres et d’artistes passionnés «œuvre à la transmission et à la préservation de ce trésor culturel marocain qui résonne encore, de Cordoue à Fès, de Grenade à Tétouan, de Séville à Rabat».
La musique andalouse marocaine, a-t-il dit, «est un élément fondamental de notre identité que nous devons préserver et faire rayonner».
Les membres de l’association, a-t-il précisé, sont issus de plusieurs villes marocaines de Tanger à Marrakech, en passant par Oujda et Laâyoune, notant que «cette mosaïque de talents et d’horizons fait des ambassadeurs une véritable caravane musicale, un pont entre les générations et les cultures».
Charafa Boucetta, jeune ambassadrice de la musique andalouse, a rappelé que l’aventure de l’association est partie d’un groupe de quelques amis mélomanes qui partagent la passion de la musique andalouse marocaine pour devenir aujourd’hui une institution qui offre des présentations publiques de haute facture.
L’association, a-t-elle ajouté, organise tout au long de l’année des ateliers d’apprentissage de musique et de chant, des séances de pratique musicale, des rencontres interculturelles et des master class avec les grands maîtres marocains de l’art Al Ala.
Le temps d’une soirée où l’écho lointain des palais andalous s’est joint aux mélodies envoûtantes des Nawbas sublimées par les grands maîtres marocains de Tarab Al Ala, les jeunes prodiges de l’association parisienne ont emporté le public dans un voyage au cœur d’un répertoire riche et vibrant, témoin d’un âge d’or et de lumière où l’art, le savoir et la spiritualité n’en faisaient qu’un.
De la nawbat Raml Al Maya, dédiée au panégyrique du Prophète Sidna Mohamed, au répertoire populaire de l’école de Tétouan, légué par feu Abdessadek Chekkara, en passant par les incantations des grands maîtres soufis, dont Al Fiyachiya, les cinquante musiciens et choristes de l’association ont rivalisé de sonorités innovantes et de chants toniques donnant ainsi une cure de jouvence à ces mélodies séculaires que les Marocains se font le devoir et l’honneur de préserver et de transmettre de génération en génération.
Dans une déclaration à la MAP, le président de l’association, Samir Majdoub, a indiqué qu’après avoir conquis les scènes de l’UNESCO et de l’Institut du monde arabe, les ambassadeurs de la musique andalouse marocaine en France se produisent au Théâtre de la Tour-Eiffel, pour «une soirée ramadanesque où se mêlent les splendeurs sonores de notre patrimoine marocain de Tarab Al Ala et les chants mystiques du Samaa Soufi».
Il a rappelé que l’association fondée en 2020 par un groupe d’étudiants, de jeunes cadres et d’artistes passionnés «œuvre à la transmission et à la préservation de ce trésor culturel marocain qui résonne encore, de Cordoue à Fès, de Grenade à Tétouan, de Séville à Rabat».
La musique andalouse marocaine, a-t-il dit, «est un élément fondamental de notre identité que nous devons préserver et faire rayonner».
Les membres de l’association, a-t-il précisé, sont issus de plusieurs villes marocaines de Tanger à Marrakech, en passant par Oujda et Laâyoune, notant que «cette mosaïque de talents et d’horizons fait des ambassadeurs une véritable caravane musicale, un pont entre les générations et les cultures».
Charafa Boucetta, jeune ambassadrice de la musique andalouse, a rappelé que l’aventure de l’association est partie d’un groupe de quelques amis mélomanes qui partagent la passion de la musique andalouse marocaine pour devenir aujourd’hui une institution qui offre des présentations publiques de haute facture.
L’association, a-t-elle ajouté, organise tout au long de l’année des ateliers d’apprentissage de musique et de chant, des séances de pratique musicale, des rencontres interculturelles et des master class avec les grands maîtres marocains de l’art Al Ala.