-
Florentino Pérez reconduit à la tête du club
-
Botola Pro D1: Le Difaâ El Jadida s’incline à domicile face au Wydad de Casablanca
-
Ligue des champions: L’AS FAR fait match nul chez le Mamelodi Sundowns et termine en tête du groupe B
-
Hero Dubai Desert de golf : Le Marocain Adam Bresnu passe le cut, performance inédite pour un joueur arabe
-
Botola Pro D1: Zemamra s’envole, Touarga et Tanger se relancent, le Chabab Mohammedia à la dérive
Mais 45% des personnes interrogées ne sont pas inquiets sur la sécurité des spectateurs, et 16% sont sans opinion (sondage en ligne mené auprès de 2046 adultes du 13 au 15 juillet).
Les quotidiens britanniques rivalisaient mardi dans le catastrophisme, au lendemain de l'arrivée des premières équipes nationales à Londres. "Plus que dix jours: qu'est-ce qui peut dérailler ?". S’interrogeait le Guardian, évoquant le "fiasco" de la firme privée G4S.
Le Times consacrait une double page aux errements de cette première journée. Deux autobus transportant des membres des équipes australienne et américaine ont mis 4 heures pour atteindre le village olympique à partir de l'aéroport, soit 40 kilomètres.
Au point que le scénario de cette journée aurait pu être écrit par les réalisateurs de l'émission satirique "Twenty twelve" (2012), qui moque la préparation des JO sur la BBC, estime le Times, sous le titre "catastrophisation".
Seule consolation, relève le journal, le temps désespérément maussade de ces deux derniers mois pourrait enfin se mettre au beau, selon les dernières prévisions du "Met Office".