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Ce résultat s'explique, essentiellement, par la baisse des créances nettes des institutions de dépôt sur l'administration centrale (AC) de 13,4% à 137,3 milliards de dirhams (MMDH) après une hausse de 28% un an auparavant, explique le DEPF, qui vient de publier sa note de conjoncture pour le mois de décembre 2014.
Le repli recouvre le recul des créances des autres institutions de dépôt (AID) sur l'AC de 10,6%, particulièrement, les détentions des AID en bons du Trésor (-12,7%), et la hausse des engagements des AID vis-à-vis de l'AC de 10,2%, relève-t-on de même source.
En revanche, le rythme de progression, en glissement annuel, des crédits bancaires s'est amélioré, passant à +4,6% pour atteindre 756,4 MMDH après une hausse de 3,1% à fin octobre 2013.
Cette évolution recouvre, selon la DEPF, l'amélioration des taux d'accroissement des crédits à la consommation et de ceux à l'équipement qui sont passés respectivement de +1,7% et +0,8% à +9% et +6,8%, tandis que celui des crédits immobiliers a décéléré passant de +4,8% à+2,6%.
S'agissant des réserves internationales nettes, elles ont maintenu presque le même taux d'accroissement que le mois précédent, soit +21,1% à 176 MMDH, marquant ainsi une amélioration par rapport à celui enregistré l'année précédente (+3,7%).