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La salle omnisport Al Inbiâat d’Agadir était en fin de semaine le pôle d’attraction en abritant les deux finales de la Coupe du Trône mettant aux prises chez les hommes l’ASS et le CRA et chez les dames le CODM et l’IRT.
Tous les ingrédients étaient réunis pour que cette édition se déroule dans les meilleures conditions: une salle spacieuse répondant aux normes de la FIBA, un public enthousiaste, des organisateurs au rendez-vous et un invité d’honneur en la personne du président de la FIBA-Afrique, l’Ivoirien Hamane Biang.
Tous les observateurs de la grosse balle orange ont prédit que l’ASS allait s’octroyer son huitième trophée sans peine, mais c’est tout le contraire qui s’est produit. Au coup d’envoi de cette finale dirigée par le trio arbitral Abaakil-Elgurnao-Tamditi, l’IRT, bien coaché par Ahmed Kajaj, a pris d’assaut le panier de l’ASS devançant son vis-à-vis parfois de 6 points, ce qui a en quelque sorte surpris l’entraîneur Said Elbouzidi contraint à demander un temps-mort pour mettre de l’ordre au sein de son groupe. Ainsi, l’ASS est parvenue à remettre les pendules à l’heure: 22 partout à l’orée du premier quart-temps. Lors du second quart, les Tangérois ont persisté sur leur lancée avec un jeu collectif basé sur les contres rapides et les tirs bien cadrés, une tactique payante qui donna l’avantage à l’IRT pour regagner les vestiaires avec de 2 points d’avance : 45/47.
De retour des vestiaires, les deux formations ont montré un engagement physique intense, preuve qu’aucun des protagonistes n’était prêt à renoncer à ce rendez-vous tant convoité. La tactique du club du Détroit étant efficace, les Corsaires étaient de plus en plus nerveux, surpris par la bonne prestation de leur adversaire du jouLe score au terme de la troisième manche était de 47/45 en faveur de l’ASS.
Lors du dernier quart-temps, les deux coachs en l’occurrence Said Elbouzidi (ASS) et Ahmed Kajaj (IRT) ont utilisé leurs dernières cartouches, mais le banc de touche et l’expérience ont prévalu au décompte final. Malgré la présence d’un Omar Laanani dans un grand jour, la sortie pour cinq fautes de Adnane Msaadia, l’Américain Luther et Alami a chamboulé le schéma tactique du coach tangérois pour que l’IRT s’incline sur la marque de 72/84. A signaler également la sortie pour 5 fautes de Najah et de l’Américain Paul Gause (ASS)
La finale dames entre le CODM et l’ASE a connu à son tour un bon niveau technique. Après une première mi-temps équilibrée, les Souiries, très motivées et bien épaulées par deux éléments de l’EN, ont d’emblée attaqué à outrance pour prendre l’avantage, ce qui leur a permis de se libérer mentalent et de gérer le reste de la rencontre en toute quiétude De leur côté, les Meknassies, décevantes en seconde période sur tous les plans, ont raté l’occasion de rééditer l’exploit de l’année dernière et se sont inclinées au coup de sifflet final sur la marque de 41/58.
Ils ont dit
Said El Bouzidi : Tous les observateurs nous donnaient comme grands favoris compte tenu de nos prestations lors des dernières années, mais sur le terrain, nous avons eu droit à un adversaire très bien préparé sur tous les plans. Il nous a créé beaucoup de problèmes, ce qui a donné lieu à une finale de qualité. Encore une fois, je félicite l’IRT pour son jeu et son fair-play.
Driss Ghissassi : Je félicite mes joueurs d’avoir appliqué à la lettre les consignes. On a fait une grand match et avec un peu de chance, on aurait pu créer la surprise. Je ne parle pas de l’arbitrage car ce n’est pas de mon habitude de le critiquer. C’est bien dommage la sortie de trois de mes meilleurs joueurs dont M’saadia qui a changé le cours du match lors des dernières minutes de la rencontre. Je remercie le public pour son soutien tout au long de la partie et je félicite l’ASS qui a fait un grand match.
Tous les ingrédients étaient réunis pour que cette édition se déroule dans les meilleures conditions: une salle spacieuse répondant aux normes de la FIBA, un public enthousiaste, des organisateurs au rendez-vous et un invité d’honneur en la personne du président de la FIBA-Afrique, l’Ivoirien Hamane Biang.
Tous les observateurs de la grosse balle orange ont prédit que l’ASS allait s’octroyer son huitième trophée sans peine, mais c’est tout le contraire qui s’est produit. Au coup d’envoi de cette finale dirigée par le trio arbitral Abaakil-Elgurnao-Tamditi, l’IRT, bien coaché par Ahmed Kajaj, a pris d’assaut le panier de l’ASS devançant son vis-à-vis parfois de 6 points, ce qui a en quelque sorte surpris l’entraîneur Said Elbouzidi contraint à demander un temps-mort pour mettre de l’ordre au sein de son groupe. Ainsi, l’ASS est parvenue à remettre les pendules à l’heure: 22 partout à l’orée du premier quart-temps. Lors du second quart, les Tangérois ont persisté sur leur lancée avec un jeu collectif basé sur les contres rapides et les tirs bien cadrés, une tactique payante qui donna l’avantage à l’IRT pour regagner les vestiaires avec de 2 points d’avance : 45/47.
De retour des vestiaires, les deux formations ont montré un engagement physique intense, preuve qu’aucun des protagonistes n’était prêt à renoncer à ce rendez-vous tant convoité. La tactique du club du Détroit étant efficace, les Corsaires étaient de plus en plus nerveux, surpris par la bonne prestation de leur adversaire du jouLe score au terme de la troisième manche était de 47/45 en faveur de l’ASS.
Lors du dernier quart-temps, les deux coachs en l’occurrence Said Elbouzidi (ASS) et Ahmed Kajaj (IRT) ont utilisé leurs dernières cartouches, mais le banc de touche et l’expérience ont prévalu au décompte final. Malgré la présence d’un Omar Laanani dans un grand jour, la sortie pour cinq fautes de Adnane Msaadia, l’Américain Luther et Alami a chamboulé le schéma tactique du coach tangérois pour que l’IRT s’incline sur la marque de 72/84. A signaler également la sortie pour 5 fautes de Najah et de l’Américain Paul Gause (ASS)
La finale dames entre le CODM et l’ASE a connu à son tour un bon niveau technique. Après une première mi-temps équilibrée, les Souiries, très motivées et bien épaulées par deux éléments de l’EN, ont d’emblée attaqué à outrance pour prendre l’avantage, ce qui leur a permis de se libérer mentalent et de gérer le reste de la rencontre en toute quiétude De leur côté, les Meknassies, décevantes en seconde période sur tous les plans, ont raté l’occasion de rééditer l’exploit de l’année dernière et se sont inclinées au coup de sifflet final sur la marque de 41/58.
Ils ont dit
Said El Bouzidi : Tous les observateurs nous donnaient comme grands favoris compte tenu de nos prestations lors des dernières années, mais sur le terrain, nous avons eu droit à un adversaire très bien préparé sur tous les plans. Il nous a créé beaucoup de problèmes, ce qui a donné lieu à une finale de qualité. Encore une fois, je félicite l’IRT pour son jeu et son fair-play.
Driss Ghissassi : Je félicite mes joueurs d’avoir appliqué à la lettre les consignes. On a fait une grand match et avec un peu de chance, on aurait pu créer la surprise. Je ne parle pas de l’arbitrage car ce n’est pas de mon habitude de le critiquer. C’est bien dommage la sortie de trois de mes meilleurs joueurs dont M’saadia qui a changé le cours du match lors des dernières minutes de la rencontre. Je remercie le public pour son soutien tout au long de la partie et je félicite l’ASS qui a fait un grand match.
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