Cela s’explique par la consolidation de l’effort public en matière d’investissement, conjuguée au redémarrage prévu dans la branche du bâtiment à la suite de l’opérationnalisation des programmes de reconstruction des zones sinistrées et d’aides au logement.
Par ailleurs, la consommation des ménages devrait enregistrer un ralentissement de son rythme de progression passant de 3,7% en 2023 à 2,2% en 2024, contribuant ainsi de 1,3 point à la croissance du PIB contre 2,3 points en 2023. Cette décélération s’explique notamment par la baisse prévue des revenus agricoles et par le maintien du niveau élevé des prix.