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D’après les explications de la Banque centrale, « cette prévision recouvre une contraction de 6,9% de la valeur ajoutée agricole en 2024, puis une progression de 8,6% en 2025, sous l’hypothèse d’une production céréalière moyenne de 55 millions de quintaux ».
La croissance non agricole devrait continuer à s’améliorer, passant de 3,6% en 2023 à 3,9% en 2024 et 2025, a poursuivi BAM à l’issue de la troisième réunion trimestrielle de 2024 de son Conseil indiquant qu’elle serait tirée principalement par les industries manufacturières et extractives ainsi que par les activités liées au tourisme.
Sur le plan des comptes extérieurs, après une baisse en 2023, les échanges de biens devraient afficher une reprise en 2024 qui se poursuivrait à moyen terme. Ainsi, les exportations de biens se renforceraient de 4,8% en 2024 et de 9,2% en 2025, tandis que les importations augmenteraient de 5% en 2024 et de 9% en 2025.
Alain B