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Présidé par le réalisateur et producteur Abdellah Zerouali, le jury de cette édition a également tenu à exprimer ses encouragements à quatre films qui font montre d’un effort technique considérable, en l’occurrence «L’aveugle et La gitane», «Vers une nouvelle vie», «Le jeu de la guerre», et «La dernière nuit».
«Nous avons tenu à mettre l’accent sur les efforts remarquables enregistrés dans cinq films (parmi dix-neuf) sur les plans technique et professionnel, d’autant plus que ces courts-métrages restent le fruit de jeunes réalisateurs en début de carrière», a fait remarquer Ahmed Sijilmassi, membre du jury.
Réalisé par Mounir Abbar, «Al Hadaf» raconte l’histoire d’un jeune Amazigh du Sud du Maroc qui arrive à Tanger où il tente sa chance… de tomber sur un emploi ou de traverser le Détroit vers l’eldorado européen. Ses préooccupations le pousseront à échafauder des plans bizarres.
«Ce film a déjà remporté des prix à l’échelle nationale et internationale et notre participation émane de notre volonté de l’aider en premier lieu et de prendre part à la noble tâche de faire rayonner le cinéma marocain», a indiqué le comédien Abdessalem Bounouacha.
De son côté, le jeune scénariste et réalisateur Ahmed Baydou a remporté le prix du scénario en langue amazighe, pour «la Voix du silence». Programmé pour la première fois, ce prix a été créé en partenariat avec l’Institut Royal pour la culture amazighe au Maroc (IRCAM).