-
Dans la Corne de l'Afrique, une dangereuse escalade entre Ethiopie et Somalie
-
Pékin "en alerte" après la traversée du détroit de Taïwan par un navire japonais
-
Les frappes israéliennes au Liban se poursuivent: Tel-Aviv rejette un appel international au cessez-le-feu
-
Nouvelles frappes israéliennes sur le Liban au lendemain d'une journée meurtrière
-
La France a "un des pires déficits de (son) histoire"
Le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon s’est déclaré «sérieusement inquiet» des informations faisant état d’un raid israélien en Syrie, sans être en mesure de les vérifier. La Russie, l’un des derniers soutiens du régime syrien auquel elle vend des armes, a promis de condamner l’action d’Israël si «l’information était avérée».
La guerre civile en Syrie sera en tête des préoccupations du vice-président américain Joe Biden qui rencontrera le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov, le médiateur international Lakhdar Brahimi et le chef de l’opposition syrienne Ahmed Moaz al-Khatib, samedi en marge de la Conférence sécuritaire de Munich (Allemagne).
Pour l’ambassadeur de Syrie à Beyrouth, Ali Abdel Karim Ali, la Syrie se réserve le droit de répondre «par surprise» à cette «agression sioniste» condamnée par les deux alliés indéfectibles de Damas, le Hezbollah et l’Iran.
Des sources sécuritaires avaient mercredi affirmé que l’aviation israélienne avait attaqué un convoi transportant des armes venant de Syrie à la frontière libanaise. Mais l’armée syrienne avait démenti.
La Maison Blanche a néanmoins mis en garde la Syrie. «Il ne faut pas que la Syrie déstabilise encore plus la région en transférant des armements au Hezbollah», a dit Ben Rhodes, conseiller adjoint à la sécurité nationale du président Barack Obama.