La Royal Air Maroc et le Festival Ecrans noirs ont célébré, dimanche à Yaoundé, dix ans de partenariat en faveur du développement du septième art camerounais et africain.
Initié en 2014, ce partenariat a permis à cet événement cinématographique de s’imposer en une décennie comme cadre privilégié de diffusion et de promotion du cinéma africain dans la sous-région d’Afrique Centrale, incarnant par là un carrefour d’exposition de la culture africaine sur la scène internationale.
Lors d'un événement organisé en marge de la 28ème édition du Festival, le Fondateur de l’événement, Bassek Ba Khobio, a souligné dans une déclaration à la presse que le partenariat avec la RAM "a beaucoup apporté au Festival Ecrans noirs", ajoutant que grâce à cet engagement de la Royal Air Maroc en tant que transporteur officiel, le Festival "a pu inviter plusieurs professionnels du septième art africain au fil des années, ce qui a contribué à la renommée et à la place qu’occupe cet événement sur le plan continental".
Evoquant l’apport du cinéma marocain en Afrique, M. Bassek a relevé que le septième art marocain joue le rôle de locomotive du cinéma pour plusieurs pays africains, dont le Cameroun, en formant plusieurs cadres et en aidant à la réalisation de plusieurs films à l’échelle continentale.
Pour sa part, le représentant régional de la RAM au Cameroun, Noureddine Balayachi, a relevé que la compagnie aérienne a, durant dix ans, "vu grandir le Festival Ecrans noirs qui rayonne sur tous les pays de l’Afrique Centrale, lui permettant de se positionner en tant qu’espace de rencontre et de réflexion culturelle à l’échelle du continent africain".
"En tant que transporteur officiel, nous voulons favoriser la capacité d’Ecrans noirs à rapprocher les professionnels et les talents autour des enjeux de créativité et d’expression", a assuré M. Balayachi, soulignant qu’au cœur de la raison d’être de la RAM, figure "la vocation d’être le point de rencontre entre le monde et les potentialités de l’Afrique, économiques, technologiques, sociales et culturelles."
A cette 28ème édition, le Maroc participe avec trois œuvres, à savoir "Le silence des violons" du réalisateur Saâd Chraïbi, dans la compétition "Long métrage international", ainsi que "Bayt Al Hejba" de Jamila Annabet, et "Cubaraouis" d’Aziz Khouadir dans la compétition "Documentaire long métrage international".
Concernant les différents jurys de cette 28ème édition, le Maroc est représenté dans la catégorie "Afrique Centrale" par la réalisatrice et scénariste Fatima Boubakdy en tant que présidente du jury, et le directeur de la formation au Festival international du cinéma africain de Khouribga, Mustapha Ougouis, en tant que membre.
Fondé en 1997, Ecrans noirs est un rendez-vous annuel du cinéma africain, organisé à l'initiative de l'Association Ecrans noirs. Le festival a pour objectif de promouvoir les créations cinématographiques de six pays d'Afrique centrale, à savoir le Cameroun, le Gabon, le Congo, la République démocratique du Congo, la République centrafricaine, et le Tchad.
Le Festival ambitionne de promouvoir une culture cinématographique qui développe le discernement et encourage le débat, de favoriser les rencontres entre les réalisateurs, les comédiens et les professionnels du 7ème art et d’impulser la formation aux métiers du cinéma et de l’audiovisuel.
Yaoundé : Issam El Greni (MAP)
Initié en 2014, ce partenariat a permis à cet événement cinématographique de s’imposer en une décennie comme cadre privilégié de diffusion et de promotion du cinéma africain dans la sous-région d’Afrique Centrale, incarnant par là un carrefour d’exposition de la culture africaine sur la scène internationale.
Lors d'un événement organisé en marge de la 28ème édition du Festival, le Fondateur de l’événement, Bassek Ba Khobio, a souligné dans une déclaration à la presse que le partenariat avec la RAM "a beaucoup apporté au Festival Ecrans noirs", ajoutant que grâce à cet engagement de la Royal Air Maroc en tant que transporteur officiel, le Festival "a pu inviter plusieurs professionnels du septième art africain au fil des années, ce qui a contribué à la renommée et à la place qu’occupe cet événement sur le plan continental".
Evoquant l’apport du cinéma marocain en Afrique, M. Bassek a relevé que le septième art marocain joue le rôle de locomotive du cinéma pour plusieurs pays africains, dont le Cameroun, en formant plusieurs cadres et en aidant à la réalisation de plusieurs films à l’échelle continentale.
Pour sa part, le représentant régional de la RAM au Cameroun, Noureddine Balayachi, a relevé que la compagnie aérienne a, durant dix ans, "vu grandir le Festival Ecrans noirs qui rayonne sur tous les pays de l’Afrique Centrale, lui permettant de se positionner en tant qu’espace de rencontre et de réflexion culturelle à l’échelle du continent africain".
"En tant que transporteur officiel, nous voulons favoriser la capacité d’Ecrans noirs à rapprocher les professionnels et les talents autour des enjeux de créativité et d’expression", a assuré M. Balayachi, soulignant qu’au cœur de la raison d’être de la RAM, figure "la vocation d’être le point de rencontre entre le monde et les potentialités de l’Afrique, économiques, technologiques, sociales et culturelles."
A cette 28ème édition, le Maroc participe avec trois œuvres, à savoir "Le silence des violons" du réalisateur Saâd Chraïbi, dans la compétition "Long métrage international", ainsi que "Bayt Al Hejba" de Jamila Annabet, et "Cubaraouis" d’Aziz Khouadir dans la compétition "Documentaire long métrage international".
Concernant les différents jurys de cette 28ème édition, le Maroc est représenté dans la catégorie "Afrique Centrale" par la réalisatrice et scénariste Fatima Boubakdy en tant que présidente du jury, et le directeur de la formation au Festival international du cinéma africain de Khouribga, Mustapha Ougouis, en tant que membre.
Fondé en 1997, Ecrans noirs est un rendez-vous annuel du cinéma africain, organisé à l'initiative de l'Association Ecrans noirs. Le festival a pour objectif de promouvoir les créations cinématographiques de six pays d'Afrique centrale, à savoir le Cameroun, le Gabon, le Congo, la République démocratique du Congo, la République centrafricaine, et le Tchad.
Le Festival ambitionne de promouvoir une culture cinématographique qui développe le discernement et encourage le débat, de favoriser les rencontres entre les réalisateurs, les comédiens et les professionnels du 7ème art et d’impulser la formation aux métiers du cinéma et de l’audiovisuel.
Yaoundé : Issam El Greni (MAP)