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En tout cas, les leaders du Parti socialiste français ne cachent pas leur satisfaction, voire leur joie de remporter la majorité au Sénat, une première depuis l’instauration de la Cinquième république.
Les socialistes voient dans cette victoire, un signe de bon augure pour la prochaine échéance électorale de 2012. Cela leur donne du tonus !
Dans le camp adverse, c’est l’amertume. Même si la majorité présidentielle actuelle s’attendait à un recul, elle ne pensait pas qu’il serait de cette ampleur. Ne voulant pas y reconnaître un franc succès de l’opposition, le chef de file du parti majoritaire impute l’échec enregistré à la rébellion qui a secoué sa formation.
Il faut dire que le bateau UMP est en plein tangage à cause des affaires des valises de billets qui éclaboussent la présidence -ce qui n’arrange rien- voilà que la majorité perd le Sénat sans oublier les interférences étrangères telle que la crise économique et financière dans laquelle le président français s’est beaucoup investi afin d’en amortir les contrecoups, mais jusqu’à présent sans grand succès.
Tous les revers du parti majoritaire actuel lui posent un sérieux problème et surtout pour son porte-drapeau, Nicolas Sarkozy qui brigue un second mandat.
Se trouvant en mauvaise posture, Sarkozy et sa machine électorale auront fort à faire pour se redresser et barrer la route aux socialistes que tous les sondages donnent vainqueurs en 2012.
Le parti de la Rose est déjà sur la bonne voie en investissant le Sénat. Il s’agit sans conteste d’un événement historique.