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D'après cette dernière, la sonde sera lancée "à la fin de cette année", depuis le centre spatial de lancement de satellites Xichang. Il s'agira alors de la première sonde chinoise à se poser sur la Lune. Toutefois, la Chine n'a pas encore révélé quelle technique elle compte utiliser pour ralentir la vitesse de l'engin et l'aider à "alunir". D'ailleurs, l'AFP n'a pu se procurer la déclaration originelle évoquée par l'agence Chine nouvelle, le programme spatial chinois étant géré par l'Armée populaire de libération (APL). Cette mission lunaire constitue un nouveau défi de taille pour le pays qui tente de prouver sa maîtrise des différentes techniques nécessaires à l'exploration spatiale. La Chine rêve aujourd'hui de devenir le quatrième pays à poser un engin sur la Lune (après les Etats-Unis, la Russie et l'Inde), et compte bien y envoyer des hommes un jour. Aucun homme n'a foulé le sol lunaire depuis 1972 et la mission Apollo 17. La conquête de l'espace est perçue en Chine, qui y consacre des milliards de dollars, comme le symbole de la nouvelle puissance du pays et des ambitions du parti communiste (PCC) au pouvoir, rappelle l'AFP. Ces derniers mois, le pays a ainsi connu plusieurs succès en concluant notamment en juin sa plus longue mission habitée dans l'espace, avec le vaisseau Shenzhou X. Une phase qualifiée par Pékin "d'importante victoire d'étape" vers la réalisation d'une station spatiale permanente chinoise à l'horizon 2020.