-
Coupe du monde de kitesurf à Dakhla: Kesiane Rodrigues s'adjuge le titre
-
Mondiaux juniors de taekwondo: De l’or pour Amina Dehhaoui
-
Séance d’entraînement du Onze national au Complexe Mohammed VI de football
-
Test saoudien pour l’EN U17
-
Ligue des champions : Le Raja Casablanca et l'AS FAR dans le même groupe
Partant de là, l’édition gabonaise «se déroulera bel et bien du 14 janvier au 5 février 2017 dans les villes de Libreville, Franceville, Port-Gentil et Oyem, où la préparation du tournoi se poursuit sereinement, dans une parfaite collaboration entre les équipes de la CAF et celles du Comité local d’organisation», ajoute le communiqué.
Cette histoire de délocalisation du tournoi avait été sortie au lendemain des élections présidentielles au Gabon, suivies de manifestations pour protester contre le résultat de ce scrutin qui avait conduit le chef de l’Etat sortant, Ali Bongo, à un nouveau mandat. A cette date, l’on parlait de plan B et du Maroc comme meilleur pays de substitution sauf que ces informations à caractère officieux ont été démenties.
A noter qu’il était aussi question de décaler la CAN de quelques jours mais Issa Hayatou avait refusé, en octobre dernier, catégoriquement cette requête.
A moins de deux mois du coup d’envoi de la 31ème Coupe d’Afrique des nations, tous les regards se focaliseront bientôt sur les quatre villes gabonaises qui abriteront l’évènement majeur du football africain et dont la dotation a été revue considérablement à la hausse, accordant désormais au vainqueur de l’épreuve 4,5 millions de dollars au lieu de 1,5 million.
De jolis pactoles à se partager, voilà ce qui devrait motiver davantage les seize sélections engagées réparties sur quatre poules dont le groupe C qui renferme les équipes du Togo, de la RD Congo, de la Côte d’Ivoire et du Maroc qui, au dernier classement FIFA, a gagné trois places occupant ainsi la 57ème place mondiale et le 10ème rang au niveau africain.