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L’une des Pussy Riot bénéficie de l'amnistie du KremlinGeste de clémence ou opération de communication de PoutineAFP
Mardi 24 Décembre 2013
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Une des deux jeunes femmes emprisonnées du groupe contestataire russe Pussy Riot, Maria Alekhina, a été remise en liberté lundi après avoir été amnistiée au terme de près de deux ans d'incarcération pour une prière "anti-Poutine". Les proches de l'autre membre du groupe, Nadejda Tolokonnikova, à Krasnoïarsk, en Sibérie orientale, espéraient aussi une libération rapide de cette dernière, aussi arrêtée en mars 2012. Cette remise en liberté intervient trois jours après celle de l'ex-magnat du pétrole et critique du Kremlin Mikhaïl Khodorkovski, gracié à la surprise générale par Vladimir Poutine, un geste interprété par certains comme une volonté d'améliorer l'image de la Russie à l'approche des Jeux olympiques qui doivent se tenir en février à Sotchi, sur les bords de la mer Noire. Maria Alekhina, âgée de 25 ans, est sortie de son camp à Nijni-Novgrorod dans une voiture de l'administration pénitentiaire sans que les journalistes qui attendaient à la sortie de la colonie n'aient pu l'apercevoir. "Elle a été remise en liberté aujourd'hui vers 09H00 du matin" locales, a indiqué à l'AFP Elena Nikichova, porte-parole du service d'application des peines (FSIN) de la région de Nijni-Novgorod. Déposée à la gare, Maria Alekhina est ensuite réapparue dans les locaux du Comité contre les tortures de la ville, une organisation des défenses des droits de l'Homme, où elle avait l'intention d'évoquer le sort de ses co-détenues. Visiblement en bonne forme, la jeune femme a dès ses premières interviews montré qu'elle n'avait rien perdu de son esprit combattif. "Le plus dur en prison était de voir comment ils cassent les gens", a-t-elle déclaré depuis le siège du comité, dans un premier entretien par téléphone avec la chaîne câblée Dojd. Elle a fustigé la loi d'amnistie qui a permis sa libération, approuvée mercredi dernier par le Parlement russe à l'occasion des 20 ans de la Constitution russe, qui prévoit d'amnistier entre autres les personnes condamnées pour "hooliganisme" et mères d'enfants mineurs.
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