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"Si on m'adresse encore un chant raciste, je quitterai le terrain", a dit "Super Mario", interrogé sur un incident survenu dimanche en championnat d'Italie avec son équipe de l'AC Milan. L'arbitre a interrompu le match 97 secondes pour faire cesser des chants racistes venus de la tribune visiteurs, occupée par les tifosi de l'AS Rome.
Ils visaient Balotelli mais aussi le Germano-Ghanéen Kevin-Prince Boateng. Au mois de janvier, Boateng avait quitté le terrain lors d'un amical à Busto Arsizio, exaspéré par des cris de singes d'une petite frange du public. Ses coéquipiers l'avaient suivi, et l'incident a été érigé en symbole du racisme à combattre dans le football.
"J'ai toujours dit que si ça arrivait sur le terrain je ne ferais rien, mais j'ai changé d'avis", a dit Balotelli, 19 sélections avec la Nazionale.
Dimanche contre la Roma (0-0), "j'ai parlé avec Boateng et j'allais quitter le terrain, mais après on aurait pu dire qu'on l'avait fait parce qu'on était en difficulté dans le match et qu'on voulait la victoire par 3-0 (sur tapis vert, ndlr), alors je suis resté", a encore expliqué le joueur.