Jusqu’au 17 janvier 2010, l’Association marocaine d’art photographique organise, avec le soutien du ministère de la Culture, à Rabat, une exposition de photographies intitulée "Mille et un doigts", réalisée par des jeunes étudiants journalistes de l’Institut supérieur de l’information et de la communication, autour du thème : “L'artisanat marocain”.
Pour Benyounès Amirouche, plasticien et critique d’art, la valeur de cette exposition sur l’artisanat « ne réside pas uniquement dans sa richesse symbolique, mais aussi dans le fait qu’elle soit une invitation ouverte à s’intéresser à l’artisan pour le sortir de l’ombre, de la réclusion et le propulser au centre du dynamisme de la productivité artisanale fondée sur la créativité manuelle qui traduit le caractère local et reflète le rayonnement de la culture et l’authenticité du pays ».
Benyounès Amirouche considère cette exposition comme un instant où chaque participant a œuvré pour trouver une issue créative qui reflète sa propre sensibilité à l’égard du sujet, à travers ses propres angles d’approche, de cadrage, de prise de vue, de lieu et de traitements de la lumière et des ombres, etc.
Benyounes donne l’exemple des photos d’Amina Sriri et Sanae Zouine sur la génération des vieux et des jeunes artisans, les photos d’Afaf Bouchikhi et Mohamed Elaji, où l’artisan est considéré comme un corps dynamique qui se réalise à travers le mouvement dans un atelier où l’on accorde un soin particulier à la décoration. Il note aussi que les photos de Fatima Ezzohra Ennda et Chafik Faïz, se présentent de sorte que le cadrage souple efface les cloisons et perce les angles pour que les détails apparaissent au fond de l’ombre.
Sur un autre registre, Benyounès a évoqué les photos de Sarah Zeroual, Zhor Baki et d’Oussama Rhaleb qui se penchent sur les œuvres manuelles et les métiers en tant que modèles fonctionnels qui révèlent une esthétique fondée sur une forme et des couleurs harmonieuses introduites au cours d’une retouche et d’une décoration précises, et ce à travers une présentation des prises de vue diversifiées répondant à une singulière vision photographique.
Pour Benyounès Amirouche, plasticien et critique d’art, la valeur de cette exposition sur l’artisanat « ne réside pas uniquement dans sa richesse symbolique, mais aussi dans le fait qu’elle soit une invitation ouverte à s’intéresser à l’artisan pour le sortir de l’ombre, de la réclusion et le propulser au centre du dynamisme de la productivité artisanale fondée sur la créativité manuelle qui traduit le caractère local et reflète le rayonnement de la culture et l’authenticité du pays ».
Benyounès Amirouche considère cette exposition comme un instant où chaque participant a œuvré pour trouver une issue créative qui reflète sa propre sensibilité à l’égard du sujet, à travers ses propres angles d’approche, de cadrage, de prise de vue, de lieu et de traitements de la lumière et des ombres, etc.
Benyounes donne l’exemple des photos d’Amina Sriri et Sanae Zouine sur la génération des vieux et des jeunes artisans, les photos d’Afaf Bouchikhi et Mohamed Elaji, où l’artisan est considéré comme un corps dynamique qui se réalise à travers le mouvement dans un atelier où l’on accorde un soin particulier à la décoration. Il note aussi que les photos de Fatima Ezzohra Ennda et Chafik Faïz, se présentent de sorte que le cadrage souple efface les cloisons et perce les angles pour que les détails apparaissent au fond de l’ombre.
Sur un autre registre, Benyounès a évoqué les photos de Sarah Zeroual, Zhor Baki et d’Oussama Rhaleb qui se penchent sur les œuvres manuelles et les métiers en tant que modèles fonctionnels qui révèlent une esthétique fondée sur une forme et des couleurs harmonieuses introduites au cours d’une retouche et d’une décoration précises, et ce à travers une présentation des prises de vue diversifiées répondant à une singulière vision photographique.
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