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Avec un effectif d’environ 160.000 chevaux et une moyenne de 5.000 nouveaux poulains par an, le domaine d’élevage équin contribue pour 0,5% au PIB et assure 11.500 emplois directs et indirects. Aussi le jeu hippique avec un chiffre d’affaire de 1,8 milliard de dirhams (MM DH) porte une véritable contribution au développement.
Révélée en 2011, à l’occasion de la quatrième édition du Salon du Cheval, la stratégie équine nationale posait le principe du doublement de la contribution de la filière équine au PIB national à l’horizon 2020.
Cette contribution représente déjà près de 4,7 MMDH et pourrait, d’après les prévisions officielles dépasser les 7 MMDH. Pour atteindre cet objectif. Il s’agira en priorité de renverser la courbe de déclin qu’enregistre le cheptel marocain. La courbe des naissances est annoncée stable par la Société Royale d’Encouragement du Cheval (SOREC) mais d’autres phénomènes pénalisants persistent comme l’atomisation de la filière de l’élevage.
En effet, le marché marocain est dominé par les petites exploitations (seuls 4 pc des éleveurs marocains détiennent 3 chevaux et plus contre 19% en France et 50% en Irlande) mais prospère dans certaines régions comme Rabat, Bouznika, El Jadida ou encore Meknès.
Organisé à l’hippodrome Princesse Lalla Malika sur une superficie de 9 hectares, dont une surface couverte de plus de 20.000 m2, le Salon du cheval d’El Jadida est marqué cette année par la participation d’une centaine d’exposants représentant les professionnels du secteur, des institutions nationales et internationales et des associations professionnelles.