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L'exposition, dont le vernissage s'est déroulé en présence de l'ambassadeur du Maroc à Doha, El Mekki Gouane, s'inscrit dans le cadre du succès rencontré par des plasticiens marocains notamment dans le quartier culturel Katara.
Dans une déclaration à la MAP, l'artiste marocain a confié qu'il s'est inspiré du titre des nouvelles "Jardins suspendus" de l'écrivain argentin Jorge Luis Borges pour donner un intitulé à son exposition qui vise à traduire ses rêves, ses impressions, ses souvenirs et ses lectures.
Concernant la présence des artistes marocains sur la scène culturelle qatarie, l'ambassadeur du Maroc a exprimé, dans une déclaration similaire, son souhait de voir éclore une coopération culturelle de haut niveau en vue de faire connaître le Maroc et sa culture ancestrale.
L'exposition témoigne d'une profonde culture et un grand professionnalisme, a-t-il dit.
Pour sa part, le président du Conseil d'administration de Youth Creative Art Center, Salman Al Malik, a souligné la nécessité de promouvoir l'art contemporain, relevant que l'art inspire les architectes, les ingénieurs et les designers.
Exprimant son admiration pour les œuvres exposées, Salman Al Malik a mis l'accent sur le professionnalisme de l'artiste marocain et sa valeur ajoutée à l'art contemporain.
Né en 1956 à El Ksiba près de Béni Mellal, Hassan Bourkia est peintre, écrivain et traducteur. Il enseigne la littérature à Beni-Mellal depuis 1982.
L'artiste expose au Maroc et à l'étranger depuis le début des années 1990. Il a également publié de nombreux articles littéraires et philosophiques et traduit en arabe de nombreux ouvrages, notamment "Le Gai savoir", "Par-delà le Bien et le Mal" de Nietzsche. En 2004. Hassan Bourkia est lauréat du prix Grand Atlas de la traduction.