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Si l’on prend en considération cette réalité politique et cette léthargie gouvernementale, il est fort probable qu’on vivra une année blanche sur le plan pédagogique. Le programme d’urgence étant arrivé à son terme avec les résultats que l’on connaît et le gâchis qui en a découlé, la crise gouvernementale et l’absence d’une stratégie rationnelle dans ce secteur accentuent ce sentiment. Un leitmotiv éloquent : on reprend les mêmes et on recommence. Donc, pour lever toute ambiguïté, le Conseil supérieur de l’éducation et de la formation et de la recherche scientifique dont le nombre des membres reste excessif ne pourrait exercer ses prérogatives si politique gouvernementale il y a. Mais jusqu’à preuve du contraire et depuis l’installation du gouvernement Benkirane, c’est l’improvisation et le tâtonnement qui caractérisent l’enseignement du primaire à l’Universitaire.
C’est donc dans un contexte d’expectative, de confusion que s’ouvre l’année scolaire. Le gouvernement vaque à ses pourparlers politiciens et à ses luttes partisanes. Il ne dispose aucunement d’une vision claire pour mette en œuvre une véritable réforme de notre système éducatif, qui reste la préoccupation majeure des Marocaines et des Marocains.