Un inédit sextuplé et un Ballon d'Or incontesté: le FC Barcelone a connu une année 2009 titanesque sous les auspices du jeu le plus séduisant d'Europe, emmené par le panache du virtuose Lionel Messi, sacré meilleur joueur du monde.
Ligue des champions, Liga, Coupe du roi, les deux Supercoupes (d'Espagne et d'Europe) et le Mondial des clubs, le seul trophée qui manquait au copieux palmarès des Catalans : : rien n'a échappé au Barça cette année !
Avec ce titre de Mondial des clubs FIFA, il rejoindrait le mythique Ajax d'Amsterdam de Johan Cruyff, auteur en 1972 du triplé et vainqueur de la Coupe intercontinentale (et de la première Supercoupe d'Europe, pas encore officielle).
En dehors de la demi-finale retour de C1 contre Chelsea (1-1), avec le but qualificatif d'Iniesta dans les derniers instants d'une partie polémique, le Barça a survolé toutes les compétitions, que ce soit en finale de la Ligue des champions face au tenant du titre, Manchester United (2-0), ou en Liga devant le Real, battu au Camp Nou (2-0) et laminé à Madrid (6-2).
La domination du Barça, toujours résolument tourné vers l'offensive dans son immuable style en 4-3-3, se retrouve dans le classement du Ballon d'Or, remis à la "Puce" Messi, déjà 2e en 2008 et 3e en 2007.
Suivent dans le Top 5 ses équipiers Xavi (3e) le "Professeur" et "l'Accélérateur de particules" Iniesta (4e), indispensables créateurs d'espaces des Blaugrana et de l'équipe d'Espagne, et Samuel Eto'o (5e), passé cet été du Barça à l'Inter Milan.
"Un niveau au-dessus". "Ce prix est un cadeau pour (Messi) aussi bien que pour le reste de l'équipe", commentait Josep Guardiola, entraîneur du Barça à qui tout réussit depuis ses débuts dans l'élite en mai 2008.
"C'est un beau vainqueur, un joueur d'un niveau au-dessus", ajoutait-il néanmoins à propos de l'Argentin de 22 ans, ultra-favori pour la récompense dorée malgré ses pâles prestations avec l'équipe d'Argentine. "C'est pour moi un grand honneur", confiait Messi de sa voix discrète. "Je ne pensais pas m'imposer par une marge aussi importante" (473 points contre 233 à Cristiano Ronaldo, deuxième après son triomphe de 2008). Le Barça ne pensait pas non plus s'imposer avec une marge aussi importante en Espagne, avec des chiffres vertigineux: 87 points, 105 buts marqués (différence de buts de +70...). "On pouvait prévoir la capacité de Pep Guardiola à gérer une équipe avec autant de bons joueurs, avait commenté le secrétaire technique du Barça, Txiki Begiristain. Ce qu'on ne pouvait pas prévoir c'est qu'il le fasse aussi bien", a-t-il fait savoir dans une déclaration rapportée par l’AFP. Il sera difficile de faire au moins aussi bien en 2010. Mais le club catalan a déjà bien préparé l'année à venir: une place de leader en Liga, une qualification pour les huitièmes de finale de la Coupe d'Espagne et pour les huitièmes de la Ligue des champions, en tant que premiers de groupe. Un nouveau triplé est pourtant une chose "quasi impossible" pour Guardiola.
Mais n'avait-il pas dit en janvier qu'il était complètement "absurde"de parler de triplé?
Ligue des champions, Liga, Coupe du roi, les deux Supercoupes (d'Espagne et d'Europe) et le Mondial des clubs, le seul trophée qui manquait au copieux palmarès des Catalans : : rien n'a échappé au Barça cette année !
Avec ce titre de Mondial des clubs FIFA, il rejoindrait le mythique Ajax d'Amsterdam de Johan Cruyff, auteur en 1972 du triplé et vainqueur de la Coupe intercontinentale (et de la première Supercoupe d'Europe, pas encore officielle).
En dehors de la demi-finale retour de C1 contre Chelsea (1-1), avec le but qualificatif d'Iniesta dans les derniers instants d'une partie polémique, le Barça a survolé toutes les compétitions, que ce soit en finale de la Ligue des champions face au tenant du titre, Manchester United (2-0), ou en Liga devant le Real, battu au Camp Nou (2-0) et laminé à Madrid (6-2).
La domination du Barça, toujours résolument tourné vers l'offensive dans son immuable style en 4-3-3, se retrouve dans le classement du Ballon d'Or, remis à la "Puce" Messi, déjà 2e en 2008 et 3e en 2007.
Suivent dans le Top 5 ses équipiers Xavi (3e) le "Professeur" et "l'Accélérateur de particules" Iniesta (4e), indispensables créateurs d'espaces des Blaugrana et de l'équipe d'Espagne, et Samuel Eto'o (5e), passé cet été du Barça à l'Inter Milan.
"Un niveau au-dessus". "Ce prix est un cadeau pour (Messi) aussi bien que pour le reste de l'équipe", commentait Josep Guardiola, entraîneur du Barça à qui tout réussit depuis ses débuts dans l'élite en mai 2008.
"C'est un beau vainqueur, un joueur d'un niveau au-dessus", ajoutait-il néanmoins à propos de l'Argentin de 22 ans, ultra-favori pour la récompense dorée malgré ses pâles prestations avec l'équipe d'Argentine. "C'est pour moi un grand honneur", confiait Messi de sa voix discrète. "Je ne pensais pas m'imposer par une marge aussi importante" (473 points contre 233 à Cristiano Ronaldo, deuxième après son triomphe de 2008). Le Barça ne pensait pas non plus s'imposer avec une marge aussi importante en Espagne, avec des chiffres vertigineux: 87 points, 105 buts marqués (différence de buts de +70...). "On pouvait prévoir la capacité de Pep Guardiola à gérer une équipe avec autant de bons joueurs, avait commenté le secrétaire technique du Barça, Txiki Begiristain. Ce qu'on ne pouvait pas prévoir c'est qu'il le fasse aussi bien", a-t-il fait savoir dans une déclaration rapportée par l’AFP. Il sera difficile de faire au moins aussi bien en 2010. Mais le club catalan a déjà bien préparé l'année à venir: une place de leader en Liga, une qualification pour les huitièmes de finale de la Coupe d'Espagne et pour les huitièmes de la Ligue des champions, en tant que premiers de groupe. Un nouveau triplé est pourtant une chose "quasi impossible" pour Guardiola.
Mais n'avait-il pas dit en janvier qu'il était complètement "absurde"de parler de triplé?
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