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Zineb El Adaoui présente un exposé devant les deux Chambres du Parlement sur les activités de la Cour des comptes au titre de 2023-2024
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Conférence à Rabat sur la lutte contre le terrorisme et la sécurité maritime le long des côtes atlantiques africaines
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Le Maroc participe à Genève au er Congrès mondial sur les disparitions forcées
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Participation du Maroc à la 49ème session ordinaire du COREP en perspective du Sommet de l’UA
Ce document final a été étoffé et enrichi par les recommandations et remarques soumises à l'Instance par ces formations politiques, car la première mouture a soulevé quelques remarques et réserves, particulièrement les articles 6 et 30 concernant la transhumance politique et la contestation des résultats définitifs des élections.
Les partis politiques signataires dudit Pacte s'engagent à respecter les principes de la bonne gouvernance partisane, l'interdiction de la transhumance politique et la gestion transparente des finances, entre autres. Des principes énoncés par les dispositions de la nouvelle Constitution, qui stipulent, entre autres, le multipartisme, la bonne gouvernance, la reddition des comptes et le renforcement des mécanismes de contrôle.
Outre l'Union socialiste des forces populaires, d’autres partis ont signé ce pacte. Il s’agit du Parti du progrès et du socialisme, du Front des forces démocratiques, du Parti de l’Istiqlal, de l'Union constitutionnelle, du Parti authenticité et modernité, du Parti socialiste, du Parti Al Amal, du Parti de l'environnement et du développement, du Rassemblement national des indépendants et du Parti démocratique national.
Il s'agit également du Parti de la renaissance et de la vertu, du Mouvement populaire, du Parti de la liberté et de la justice sociale, du Parti des verts pour le développement, du Parti travailliste, du Parti de l'action, des Forces citoyennes, du Parti de la société démocratique, du Parti marocain libéral et du Parti de la gauche verte. A rappeler que dans l'objectif de renforcer le processus démocratique, à travers l'immunisation de l'action politique contre les pratiques frauduleuses, l’ICPC avait présenté en octobre dernier un rapport dans lequel elle avait dressé un état des lieux de la corruption politique et électorale au Maroc et l'ensemble des recommandations et propositions issues d’un diagnostic et des efforts déployés à cet égard. Concernant ce volet, les recommandations de l’ICPC contenues dans la Charte visent, entre autres, à criminaliser les infractions relatives au dépassement du plafond fixé et au non-respect du délai de dépôt d’inventaire des dépenses des campagnes électorales ; unifier les peines de prison et des amendes en matière de corruption électorale et de l’usage des biens publics lors des campagnes électorales pour l’ensemble des élections législatives, communales ou professionnelles ; garantir la protection juridique aux dénonciateurs des actes de corruption électorale à l’instar de ceux des autres crimes.