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Ainsi en a décidé la commission administrative de l’Union nationale des ingénieurs marocains lors de sa réunion du 22 janvier 2011 tenue à Rabat et consacrée à l’examen de la situation organisationnelle de l’Union et à l’évolution de son cahier revendicatif.
A l’issue de cette réunion, l’UNIM, condamne, via un communiqué, la position du gouvernement qui s’obstine à répondre aux doléances légitimes des ingénieurs et renouvelle sa demande pour l’ouverture d’un dialogue sérieux et responsable avec son bureau national.
Ces deux grèves et les sit-in que compte organiser l’UNIM s’inscrivent dans le nouveau programme de lutte établi par la commission administrative en vue de faire valoir les revendications des ingénieurs marocains des secteurs public et privé.
Pour ce qui est du VIème congrès de l’UNIM, la commission administrative a délégué le pouvoir de décider de la tenue de sa date au bureau national, et ce conformément au statut de l’Union et à la lumière du rapport de la commission d’organisation, souligne le communiqué.
A noter que les doléances de l’UNIM portent particulièrement sur les amendements relatifs au statut interministériel des ingénieurs et des ingénieurs topographes, la réglementation de l’exercice de leur métier dans le secteur privé ainsi que l’amélioration de leur situation matérielle et professionnelle qui n’a eu de cesse de se dégrader.
Figurent également dans leur cahier revendicatif des points non moins importants que ceux précités, tels les régimes d’indemnisation et de promotion, la garantie d’une formation de qualité, l’instauration d’une formation continue, la démocratisation de la désignation aux postes de responsabilité selon le mérite, l’amélioration des conditions sociales à travers les mutuelles et les comités d’œuvres sociales ainsi que la révision du régime des retraites.