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Son budget a été pratiquement doublé à 59,7 millions d'euros pour la période du 19 mai 2018 au 18 mai 2020, contre 33,4 millions d'euros pour la précédente période de deux ans.
L'EUTM Mali, qui compte quelque 600 personnes, réunit des militaires européens de 27 pays placés sous le commandement du général espagnol Enrique Millan Martinez depuis le 31 janvier 2018. Les militaires européens déployés au Mali ne sont pas destinés à participer à des missions de combat et n'accompagnent pas les unités maliennes dans les opérations, a précisé l'EUTM.
Elle a été lancée en février 2013, dans la foulée de l'opération militaire française pour chasser les jihadistes qui contrôlaient le nord du Mali.
La mission de l'EUTM est de remettre sur pied une armée malienne sous-entraînée et sous-équipée en apportant une expertise dans la préparation opérationnelle, le soutien logistique, le renseignement et la formation des unités combattantes sur le camp de Koulikoro (60 km au nord-est de Bamako).
L'hôtel de Bamako réquisitionné pour l'EUTM a été attaqué le 20 mars 2016. L'attentat a fait 20 morts, dont deux assaillants.
"La zone d'engagement de la mission a été étendue jusqu'à la boucle du Niger et inclut également les villes de Gao et Tombouctou", selon l'EUTM.
La vaste région du nord du Mali était tombée en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes jihadistes liés à Al-Qaïda.
Ils ont été dispersés et en grande partie chassés après une intervention militaire internationale, qui se poursuit actuellement.
Mais des zones échappent encore au contrôle des forces nationales et internationales, malgré la signature en mai-juin 2015 d'un accord de paix entre le gouvernement, les groupes qui le soutiennent et l'ex-rébellion à dominante touareg afin d'isoler les jihadistes.
La force du G5 Sahel est pour sa part composée de 5.000 soldats du Mali, du Niger, de Mauritanie, du Burkina Faso et du Tchad. Elle est soutenue par la force militaire française antijihadiste au Sahel Barkhane.