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M. Dujarric a indiqué que les forces des deux camps sont concentrées dans leurs positions distantes à peine de 120m les unes des autres, et ce malgré les efforts de médiation déployés par les membres de la MINURSO. Il a ajouté que l’ONU craint la reprise des combats entre les deux belligérants avec des risques de répercussions sous-régionales.
Toujours selon le porte-parole de l’ONU, la mission onusienne a déployé des observateurs militaires non armés comme force d’interposition et que des responsables de l’ONU ont entamé un dialogue avec les deux parties et les pays directement concernés, leur conseillant de se ressaisir et d’envisager les moyens de sortir de cette crise, soulignant que le Maroc a commencé les travaux de construction d’une route, un droit des plus légitimes.
Rappelons que la zone, objet de tension, se situe après le mur de sécurité érigé par le Maroc sur une longueur de 2.500 km.
Par ailleurs, un document confidentiel de l’ONU, datant de la fin août 2016, a indiqué que les deux parties ont violé l’accord de cessez-le-feu signé en 1991, à travers le déploiement d’éléments armés dans une zone proche de la frontière avec la Mauritanie. Ledit document a été divulgué après le déploiement des forces marocaines dans cette zone dans le cadre d’une opération de lutte contre les trafics en tout genre qui s’y déroulent et qui sont souvent contrôlés par des contrebandiers ayant des liens avec la direction du Polisario. Dans une déclaration, le ministre marocain de l’Intérieur a souligné que son pays poursuit l’opération de ratissage qui est conforme à l’accord de cessez-le-feu de 1991.
Dans ce contexte, des parties espagnoles téléguidées par l’Algérie et le Polisario, tentent d’acculer le gouvernement espagnol dirigé par le Parti populaire à prendre des positions hostiles au Maroc dans cette crise. Ainsi, un conseiller de l’Alliance Moulite a demandé que le ministre des Affaires étrangères donne des explications devant le sénat à propos de ce qu’il a appelé les nouveaux évènements provoqués par le Maroc au Sahara ou dans ce qu’il a qualifié de territoire relevant du Polisario. Le ministre des Affaires étrangères a accepté de répondre à cette demande en vue d’apporter des éclaircissements sur la crise de Guerguerat entre le Maroc et le Polisario. Et d’ajouter ironiquement : « J’ai été le ministre qui a comparu le plus devant le sénat, durant le mandat de l’actuel gouvernement et je n’ai jamais refusé de comparaître ».