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Alors que le dialogue social entre ce dernier et les centrales syndicales est au point mort, et face au bafouement des droits de l’opposition au Parlement et à l’arrogance du gouvernement, les partis de l’opposition se sont vus contraints de descendre dans la rue pour tirer la sonnette d’alarme et exprimer leur mécontentement face à la politique que mène l’Exécutif depuis son investiture en 2012.
Ce dimanche, le PI qui a quitté récemment l’équipe gouvernementale, organisera une marche nationale dans la capitale et des marches régionales et provinciales pour protester contre les décisions antisociales de l’Exécutif, notamment celle afférente à la hausse des prix des carburants après l’entrée en vigueur, au début de cette semaine, du système d'indexation partielle. Lesquelles décisions, selon le journal Al Alam, « menacent les conditions d’une paix sociale que les forces vives du Royaume, tentent d’instaurer après tant de sacrifices consentis.
A ce propos, Hamid Chabat a présidé, mardi dernier, une réunion avec les responsables du parti pour faire le point sur les préparatifs de « la Journée de la colère » que le parti de la Balance compte organiser ce week-end. Il a rappelé que le parti a attiré l’attention, à maintes reprises, et depuis des mois déjà, sur les dangers de telles orientations impopulaires du gouvernement qui ont été, à juste titre, à l’origine du retrait de l’Istiqlal de ce dernier pour se ranger aux côtés de la majorité populaire », affirme le quotidien «L’Opinion» dans son édition de jeudi. Au début de ce mois, rappelle-t-on, la direction de l’USFP avait appelé les militants et surtout la jeunesse Ittihadie à rejoindre tous les mouvements de protestation contre la politique impopulaire de l’actuel gouvernement.