-
Dans la Corne de l'Afrique, une dangereuse escalade entre Ethiopie et Somalie
-
Pékin "en alerte" après la traversée du détroit de Taïwan par un navire japonais
-
Les frappes israéliennes au Liban se poursuivent: Tel-Aviv rejette un appel international au cessez-le-feu
-
Nouvelles frappes israéliennes sur le Liban au lendemain d'une journée meurtrière
-
La France a "un des pires déficits de (son) histoire"
Le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique, gendarme de la non-prolifération nucléaire, a toutefois douché les espoirs d’une percée: «Je ne suis pas forcément optimiste, les perspectives ne sont pas nécessairement brillantes» sur la possibilité de sceller un accord, a confié le Japonais Yukiya Amano lors d’une conférence de presse à Tokyo vendredi.
L’AIEA soupçonne l’Iran d’avoir procédé sur ce site à des tests d’explosions applicables au nucléaire.
Plus globalement, elle soupçonne le pays d’avoir travaillé à la mise au point de l’arme nucléaire avant 2003 et peut-être ensuite, ce que Téhéran nie.
Le déroulement de la mission sera surveillé de très près par les grandes puissances avant la reprise de leurs pourparlers avec l’Iran.
L’enrichissement est au cœur des préoccupations des grandes puissances. Elles redoutent que l’Iran atteigne le niveau de purification de 90% nécessaire à la fabrication d’une bombe atomique.
Le pays enrichit jusqu’à 20%, afin, selon lui, de produire des isotopes médicaux nécessaires au diagnostic de certains cancers et a affirmé à plusieurs reprises ne pas vouloir aller plus loin. Mais, la République islamique conditionne tout geste à une réduction des sanctions sans précédent dont elle fait l’objet. Elle exige aussi la reconnaissance de son droit à enrichir de l’uranium en tant que signataire du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP)