-
Tenue de l’assemblée générale de la Peňa Madridista de Casablanca
-
Coupe du monde de Wingfoil Dakhla 2024: L'Espagnole Elena Moreno sacrée
-
Walid Regragui : La régularité et le travail sont les principaux critères de sélection en équipe nationale
-
Botola : Le huis clos à l’affiche
-
Medhi Benatia lourdement sanctionné
11 janvier: Messi encore ? Déjà couronné à quatre reprises (2009-2012), Lionel Messi devrait décrocher un cinquième Ballon d'or. Ses adversaires ? Son coéquipier à Barcelone, le Brésilien Neymar, et son grand rival, le Portugais Cristiano Ronaldo, vainqueur des deux dernières éditions.
26 février: qui pour succéder à Blatter ? Neuf mois après le début de la crise, la Fifa élit un nouveau président pour succéder à Joseph Blatter, en poste depuis 1998 et démissionnaire depuis le 2 juin 2015. Depuis, l'instance suprême du football mondial tangue dangereusement, au gré des arrestations orchestrées par la justice américaine. Cinq candidats seront à coup sûr sur la ligne de départ: le Bahreini Cheikh Salman, patron du football asiatique, le Sud-Africain Tokyo Sexwale, ancien compagnon de prison de Nelson Mandela, le prince jordanien Ali, le Français Jérôme Champagne et le Suisse Gianni Infantino. Le sort du Français Michel Platini dépend de la justice interne de la Fifa.
16 mai: le pari de Djokovic. C'est le seul tournoi du Grand Chelem qui lui a échappé en 2015. Battu en finale par Stan Wawrinka, Novak Djokovic s'attaque à Roland-Garros. Qui peut résister au Serbe? D'abord la terre battue parisienne, sur laquelle il ne s'est jamais imposé. Surtout quelques adversaires désireux de le priver du Grand Chelem: le revanchard Rafael Nadal, Stan Wawrinka, en quête d'un doublé, ou Andy Murray.
3-26 juin: la fête ? Le football sud-américain devait célébrer son centenaire en grande pompe, lors d'une Copa America spéciale, éclatée dans dix villes des Etats-Unis. Mais le scandale de la Fifa, qui frappe la plupart des hauts dirigeants des Fédérations continentales (Conmebol et Concacaf), jette une ombre sur le tournoi. 10 juin: sommet européen. 21h00: la douceur pré-estivale baigne le stade de France. 80.000 spectateurs attendent le coup d'envoi de l'Euro-2016, placé sous haute protection après les attentats de novembre. La France entame "son" Euro, face à la Roumanie. Capitaine des Bleus vainqueur du dernier euro organisé en France (en 1984), Michel Platini est depuis devenu président de l'UEFA. Mais sa mise en cause dans le scandale de la Fifa lui permettra-t-elle d'être présent dans les tribunes ?
5-21 août: rendez-vous à Rio. C'est la grande quinzaine de l'Olympisme. Les plus grands sportifs de la planète ont rendez-vous à Rio, pour les premiers JO organisés en Amérique du Sud. Les vedettes attendues ? Usain Bolt rêve d'ajouter quelques médailles supplémentaires à ses 6 titres (100, 200, relais) conquis en 2008 et 2012. Avec en point d'orgue la finale du 100 m, probablement face au sulfureux Justin Gatlin. Et pourquoi pas la nageuse américaine Katie Ledecky, quintuple championne du monde en 2015, ou son compatriote Michael Phelps, athlète le plus titré de l'histoire olympique, sorti de sa retraite en vue du rendez-vous brésilien.
Lomu était quasiment ruiné
Il avait beau être une des plus grandes stars de l'histoire du rugby, Jonah Lomu était quasiment ruiné quand il est décédé en novembre, selon une fondation créée pour aider ses enfants.
Le décès soudain à 40 ans de l'ailier néo-zélandais qui se battait depuis des années contre des problèmes rénaux a choqué bien au-delà du monde du rugby, tant était grande l'aura de l'ancien All-Black.
Mais il est apparu que Jonah Lomu n'avait au moment de son décès que très peu d'argent.
D'où la décision prise par des hommes d'affaires et des amis de créér une Fondation Jonah Lomu pour venir en aide à ses deux enfants, Brayley, cinq ans, et Dhyreille, six ans, a expliqué mardi Rob Nichol, dirigeant de l'Association des joueurs de rugby néo-zélandais.
"L'inventaire de son patrimoine n'est pas terminé, mais nous en savons suffisamment pour voir que sa famille ne pourra compter sur cet héritage", a-t-il déclaré à la radio Newstalk ZB.
Le patrimoine de Lomu n'avait rien à voir avec ce qu'on pouvait imaginer pour un joueur de ce niveau, a-t-il expliqué, la star néo-zélandaise ayant peut-être été la victime de sa propre générosité.