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Il était opposé au président sortant, le Suisse Joseph Blatter.
Le Qatari avait retiré sa candidature juste avant son passage, le 29 mai, devant le comité d'éthique de la Fifa, qui l'avait suspendu à titre provisoire, le temps d'une enquête interne.
M. Blatter, seul candidat en lice, avait été réélu dans une ambiance délétère le 1er juin 2011. M. Bin Hammam a ensuite été radié à vie par la Fifa.
Dans un communiqué, publié lundi soir sur son site, l'AFC indique avoir suspendu pour trente jours son dirigeant, après un audit des finances de la Confédération.
L'audit s'est penché sur "les événements autour des négociations et de l'exécution de certains contrats, et sur les transactions financières allant et sortant des comptes AFC et des comptes personnels de M. Bin Hammam pendant sa présidence", ajoute le communiqué.
Mohamed Bin Hammam ne peut plus "prendre part à quelques activités footballistiques que ce soit relevant de la juridiction de l'AFC, jusqu'à ce que le comité disciplinaire de l'AFC prenne une décision sur la pertinence" des éléments, indique-t-il.
Les infractions relevées incluent des violations des statuts de l'AFC sur l'éthique, la corruption. Mohammed Bin Hammam s'est toujours défendu des accusations de la Fifa, indiquant qu'elles étaient motivées par des questions de politique.
Il a fait appel de sa radiation à vie de la Fifa, et a perdu. Il a déposé un deuxième appel auprès du Tribunal arbitral du sport (TAS) de Lausanne.