-
Tenue de l’assemblée générale de la Peňa Madridista de Casablanca
-
Coupe du monde de Wingfoil Dakhla 2024: L'Espagnole Elena Moreno sacrée
-
Walid Regragui : La régularité et le travail sont les principaux critères de sélection en équipe nationale
-
Botola : Le huis clos à l’affiche
-
Medhi Benatia lourdement sanctionné
Si sa technicité, son agilité et sa force de caractère font l’unanimité, le jeune homme est néanmoins conscient de la dangerosité des exercices qu’il effectue. «Cela peut ressembler à une vie dangereuse pour la plupart des gens, mais pour moi, ce sont juste des jeux qui m’aident à garder mon cerveau actif. Mais je prends toujours les précautions qui s’imposent», explique Khalid à la presse étrangère. «Je choisis des endroits les plus sûrs et les plus confortables, car je pourrais mourir si je faisais un faux mouvement», ajoute-t-il, soulignant qu’il évolue graduellement dans la difficulté des exercices et que le nombre d’heures d’entraînement qu’il suit quotidiennement lui permet de s’en sortir. En effet, Khalid Tunni s’entraîne huit heures par jour, à raison de quatre le matin et quatre le soir.
Notons enfin que le Street Workout est né aux Etats-Unis et se situe à mi-chemin entre la gymnastique suédoise et la musculation. Aussi appelée Calisthenics, cette pratique, qui ne cesse de gagner en popularité depuis le début des années 2000, implique des mouvements de résistance utilisant le poids de son corps, et peut se pratiquer n’importe où et n’importe quand, nécessitant peu ou pas de matériel. Cette musculation des rues peut s’apparenter à du fitness au regard de certains, mais il ne faut pas s’y méprendre: elle favorise considérablement la prise et le renforcement musculaire grâce à une meilleure connaissance et maîtrise du corps.