Le rappeur américain Kendrick Lamar, à l'affiche ce week-end de l'incontournable concert du Super Bowl, a promis jeudi à ses fans de leur raconter des "histoires" pour "réfléchir", sans dire s'il interprétera la chanson contre Drake qui lui a valu un triomphe aux Grammy Awards.
"J'ai toujours été clair sur le fait de raconter des histoires, c'est mon répertoire et l'histoire de ma musique... J'aime faire en sorte que les gens écoutent, mais aussi qu'ils réfléchissent", a expliqué la star du rap californien, lors d'une séance de questions-réponses à trois jours du concert, qui aura lieu ce dimanche au Caesars Superdome de La Nouvelle Orléans.
Pour le reste, le suspense a été gardé lors de cet événement organisé par le sponsor du concert, Apple Music. Kendrick Lamar n'a pas été interrogé sur les chansons qu'il s'apprête à interpréter, alors que tout le monde se demande si son tube "Not Like Us" sera au programme.
Le morceau a été le point culminant du "clash" entre Kendrick Lamar et le rappeur canadien Drake, qui entretiennent désormais une inimitié légendaire, avec les tribunaux en ligne de mire.
Dans des vers au vitriol, le Californien remet en question l'appartenance même de Drake à la culture hip-hop et va jusqu'à le traiter de pédophile. "Not Like Us" a connu un succès fulgurant et remporté une pelletée de Grammy Awards, cinq au total, notamment pour la meilleure chanson et le meilleur enregistrement de l'année, une performance rarissime pour un titre de rap.
Pour lui, cette reconnaissance est celle d'une "culture". "Quand les gens parlent de rap, ils en parlent comme s'il s'agissait juste de rapper, pas comme s'il s'agissait d'une forme d'art", a-t-il souligné.
Le succès du morceau a conduit Drake à attaquer leur label commun Universal Music Group (UMG) en diffamation devant les tribunaux.
Kendrick Lamar a aussi confié qu'il n'aurait jamais pensé se retrouver un jour en tête d'affiche du Super Bowl, où sont passés avant lui Michael Jackson, Stevie Wonder, Prince, les Rolling Stones ou encore Bruce Springsteen.
"Ce que je sais, c'est que la passion que j'ai aujourd'hui, c'est celle que j'avais hier", a-t-il dit.
L'artiste de 37 ans est considéré comme l'un des meilleurs rappeurs de sa génération pour ses textes sur les problèmes raciaux ou la pauvreté aux Etats-Unis. Sa chanson "Alright" était devenue un hymne du mouvement Black Lives Matter. Il est aussi le seul artiste hip-hop couronné par un prix Pulitzer de la musique.
"J'ai toujours été clair sur le fait de raconter des histoires, c'est mon répertoire et l'histoire de ma musique... J'aime faire en sorte que les gens écoutent, mais aussi qu'ils réfléchissent", a expliqué la star du rap californien, lors d'une séance de questions-réponses à trois jours du concert, qui aura lieu ce dimanche au Caesars Superdome de La Nouvelle Orléans.
Pour le reste, le suspense a été gardé lors de cet événement organisé par le sponsor du concert, Apple Music. Kendrick Lamar n'a pas été interrogé sur les chansons qu'il s'apprête à interpréter, alors que tout le monde se demande si son tube "Not Like Us" sera au programme.
Le morceau a été le point culminant du "clash" entre Kendrick Lamar et le rappeur canadien Drake, qui entretiennent désormais une inimitié légendaire, avec les tribunaux en ligne de mire.
Dans des vers au vitriol, le Californien remet en question l'appartenance même de Drake à la culture hip-hop et va jusqu'à le traiter de pédophile. "Not Like Us" a connu un succès fulgurant et remporté une pelletée de Grammy Awards, cinq au total, notamment pour la meilleure chanson et le meilleur enregistrement de l'année, une performance rarissime pour un titre de rap.
Pour lui, cette reconnaissance est celle d'une "culture". "Quand les gens parlent de rap, ils en parlent comme s'il s'agissait juste de rapper, pas comme s'il s'agissait d'une forme d'art", a-t-il souligné.
Le succès du morceau a conduit Drake à attaquer leur label commun Universal Music Group (UMG) en diffamation devant les tribunaux.
Kendrick Lamar a aussi confié qu'il n'aurait jamais pensé se retrouver un jour en tête d'affiche du Super Bowl, où sont passés avant lui Michael Jackson, Stevie Wonder, Prince, les Rolling Stones ou encore Bruce Springsteen.
"Ce que je sais, c'est que la passion que j'ai aujourd'hui, c'est celle que j'avais hier", a-t-il dit.
L'artiste de 37 ans est considéré comme l'un des meilleurs rappeurs de sa génération pour ses textes sur les problèmes raciaux ou la pauvreté aux Etats-Unis. Sa chanson "Alright" était devenue un hymne du mouvement Black Lives Matter. Il est aussi le seul artiste hip-hop couronné par un prix Pulitzer de la musique.
Bouillon de culture
Exposition
Le vernissage de l’exposition photographique "Architecture andalouse. Point de rencontre entre Occident et Occident islamique" a eu lieu, jeudi à l'Institut Cervantes de Rabat.
A travers cette exposition, initiée par l'ambassade d'Espagne au Maroc, l'Institut Cervantes de Rabat et la Fondation publique andalouse "El Legado Andalusí", l'art et l’architecture se rejoignent pour offrir un espace de réflexion sur l'architecture andalouse et sur les liens profonds entre les deux rives de la Méditerranée.
Les images exposées lors de cet évènement donnent à voir des constructions telles que les citadelles, les châteaux, les murailles, les tours, les palais, les minarets, les bains, les citernes et les réservoirs d’eau, qui font aujourd’hui partie intégrante du paysage des deux cultures.
A cette occasion, l’ambassadeur de l’Espagne au Maroc, Enrique Ojeda Vila, a expliqué, dans une déclaration à la MAP, que cette exposition sur l'architecture andalouse "met en commun des éléments essentiels dans les relations entre l'Espagne et le Maroc, à savoir l'histoire partagée et le patrimoine commun".
Les relations excellentes entre l'Espagne et le Maroc sont adossées "à cette histoire partagée et à ce patrimoine qui font des deux pays des partenaires stratégiques pour continuer à travailler ensemble sur le présent et l'avenir", a-t-il estimé.
Le vernissage de l’exposition photographique "Architecture andalouse. Point de rencontre entre Occident et Occident islamique" a eu lieu, jeudi à l'Institut Cervantes de Rabat.
A travers cette exposition, initiée par l'ambassade d'Espagne au Maroc, l'Institut Cervantes de Rabat et la Fondation publique andalouse "El Legado Andalusí", l'art et l’architecture se rejoignent pour offrir un espace de réflexion sur l'architecture andalouse et sur les liens profonds entre les deux rives de la Méditerranée.
Les images exposées lors de cet évènement donnent à voir des constructions telles que les citadelles, les châteaux, les murailles, les tours, les palais, les minarets, les bains, les citernes et les réservoirs d’eau, qui font aujourd’hui partie intégrante du paysage des deux cultures.
A cette occasion, l’ambassadeur de l’Espagne au Maroc, Enrique Ojeda Vila, a expliqué, dans une déclaration à la MAP, que cette exposition sur l'architecture andalouse "met en commun des éléments essentiels dans les relations entre l'Espagne et le Maroc, à savoir l'histoire partagée et le patrimoine commun".
Les relations excellentes entre l'Espagne et le Maroc sont adossées "à cette histoire partagée et à ce patrimoine qui font des deux pays des partenaires stratégiques pour continuer à travailler ensemble sur le présent et l'avenir", a-t-il estimé.