Ainsi, la participation marocaine sera assurée dans les épreuves d’athlétisme, de boxe, d’haltérophilie (filles), de judo, de natation, de sports équestres, de tennis, du tir au plateau, de l’escrime, du volley-ball, du beach volley du basketball, du football et du handisport (athlétisme).
Il convient de signaler que l’engagement de trois disciplines est placé sous réserve. A commencer par l’escrime dont les dirigeants sont tenus d’aligner les deux meilleurs tireurs, en l’occurrence Issam Rami et Ali Xavier, classés respectivement 23ème et 32ème au niveau mondial. Il se pourrait que l’équipe d’escrime compte un troisième élément, le jeune Nabil Marbouh, huitième au championnat méditerranéen qui avait eu lieu en juin dernier en Tunisie.
Outre l’escrime, la participation de la sélection de basket est conditionnée par la qualification du Cinq national au championnat d’Afrique, au moment où une condition tout autre a été posée par le CNOM à la Fédération de volley-ball. Celle-ci doit faire appel au service des joueurs marocains professionnels, évoluant notamment dans les championnats français et espagnol. Cette condition se veut des plus logiques dans la mesure où le tournoi promet d’être d’un niveau relevé pour les joueurs du terroir qui manquent terriblement d’expérience internationale. Hormis les Jeux méditerranéens, l’année en cours sera rehaussée par d’autres événements, à savoir les Jeux de la Francophonie au Liban et les Jeux islamiques en Iran.