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"L'armée attaque Koussaïr avec des blindés et de l'artillerie, au nord et à l'est, tandis que le Hezbollah tire au mortier et au lance-roquettes du sud et de l'ouest", a-t-il précisé. "La plupart des morts sont des civils victimes des bombardements."
Bachar Al Assad a parallèlement exprimé ses doutes sur le succès d'une conférence de paix sur la Syrie. Les pourparlers proposés par Moscou et Washington ne permettront pas d'arrêter le terrorisme, estime le président syrien dans une interview au journal argentin Clarin. "On croit qu'une conférence politique arrêtera les terroristes dans le pays. C'est irréaliste", a déclaré le président interrogé en Syrie par Clarin. Le 7 mai, Moscou et Washington ont proposé la tenue d'une conférence internationale à laquelle seraient conviés aussi bien des représentants d'Assad que de l'opposition, dans l'espoir de trouver une solution politique à la guerre civile.
Le secrétaire d'Etat américain John Kerry devrait en dire plus lors d'une réunion mercredi en Jordanie des "Amis de la Syrie", un groupe de pays arabes et occidentaux qui souhaitent le départ de Bachar Al Assad. De nombreux pays de ce groupe sont sceptiques sur cette initiative de paix russo-américaine.
La Russie souhaite la participation de l'Iran, principal soutien de Bachar Al Assad dans la région, à la conférence. La France y est opposée. L'opposition syrienne, très divisée, se réunira jeudi à Istanbul pour décider de sa participation à la conférence de paix tandis que le comité "Syrie" de la Ligue arabe se réunira également le même jour à la demande du Qatar, peut-être pour avaliser la décision de l'opposition.