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Bébé saoul
En Pologne, mardi dernier, une femme a donné naissance à un bébé complètement ivre. La mère de ce bébé pensait donc que grossesse et alcool pouvaient être compatibles. Lors de l’accouchement, les médecins ont révélé que l’enfant avait 4.5 grammes d’alcool dans le sang et se trouvait dans un état critique.
Cette femme avait décidé de passer sa soirée avec l’alcool avant de finir à l’hôpital. En effet, pour aggraver son cas, il faut savoir que les urgences sont intervenues dans un magasin de vente de boissons alcoolisées. Une femme enceinte venait d’y perdre connaissance. Les docteurs avaient donc une bonne raison de faire passer un test d’alcoolémie à cette femme. La mère avait 2.6 grammes d’alcool dans le sang et 4.5 grammes pour le nouveau-né.
En arrivant à l’hôpital local de Tomaszow Mazowiecki, les médecins ont jugé préférable de faire accoucher cette femme par césarienne. C’est donc un bambin ivre qu’ils ont sorti de son ventre. Cette femme n’a vraiment pas écouté les conseils sur la consommation d’alcool durant la grossesse. Elle a ignoré les mises en garde des médecins. Sa grossesse n’a pas vraiment aidé cette femme à arrêter de boire de manière démesurée.
Les médecins interdisent la consommation d’alcool tout au long de la grossesse. Les docteurs ont informé que le bébé était dans un état critique. Les services sociaux prendront évidemment le relai pour s’assurer qu’à l’avenir ce bébé bénéficie des soins et de l’attention nécessaire.
Quant à la mère, la justice a saisi l’affaire. Elle risque à présent jusqu’à cinq ans de prison et pourrait même perdre la garde de son enfant.
En Pologne, mardi dernier, une femme a donné naissance à un bébé complètement ivre. La mère de ce bébé pensait donc que grossesse et alcool pouvaient être compatibles. Lors de l’accouchement, les médecins ont révélé que l’enfant avait 4.5 grammes d’alcool dans le sang et se trouvait dans un état critique.
Cette femme avait décidé de passer sa soirée avec l’alcool avant de finir à l’hôpital. En effet, pour aggraver son cas, il faut savoir que les urgences sont intervenues dans un magasin de vente de boissons alcoolisées. Une femme enceinte venait d’y perdre connaissance. Les docteurs avaient donc une bonne raison de faire passer un test d’alcoolémie à cette femme. La mère avait 2.6 grammes d’alcool dans le sang et 4.5 grammes pour le nouveau-né.
En arrivant à l’hôpital local de Tomaszow Mazowiecki, les médecins ont jugé préférable de faire accoucher cette femme par césarienne. C’est donc un bambin ivre qu’ils ont sorti de son ventre. Cette femme n’a vraiment pas écouté les conseils sur la consommation d’alcool durant la grossesse. Elle a ignoré les mises en garde des médecins. Sa grossesse n’a pas vraiment aidé cette femme à arrêter de boire de manière démesurée.
Les médecins interdisent la consommation d’alcool tout au long de la grossesse. Les docteurs ont informé que le bébé était dans un état critique. Les services sociaux prendront évidemment le relai pour s’assurer qu’à l’avenir ce bébé bénéficie des soins et de l’attention nécessaire.
Quant à la mère, la justice a saisi l’affaire. Elle risque à présent jusqu’à cinq ans de prison et pourrait même perdre la garde de son enfant.

Le stratagème des mamans
Un des problèmes majeurs des grands parcs d’attraction est la file d’attente inévitable que l’on doit subir pendant des heures pour profiter des deux ou trois minutes de grand frisson. Inévitable, pas tant que ça.. A Disney World aux Etats-Unis, un système à mille lieux de la morale s’est mis en place. Un “marché noir des guides” s’est mis en place. Pour 130$ par heure, des mères saines et fortunées “louent” les services de personnes handicapées ou à mobilité réduite pour permettre à leur bambins de ne pas rentrer en pâmoison à la vue de la file d’attente, que tout le monde fait. Le New York Post a enquêté sur le phénomène et le reportage est édifiant.
“Ma fille n’a attendu qu’une minute pour l’attraction “Its A Small World” tandis que les autres enfants devaient attendre près de deux heures et demie”, crâne une mère, qui à engagé un guide handicapé par l’agence Dream Tour Florida.
“Vous ne pouvez pas aller à Disney World sans un guide”, se plaint-elle. “C’est comme ça que les 1% visitent Disney”. Les 1% sont une référence au documentaire de Jamie Johnson, où il établit que les fossés sociaux se creusent entre “l’élite” et le “peuple“, scindant la population américaine en 1% et 99%. La mère poursuit qu’elle a engagé un guide de l’agence Dream Tour pour qu’il l’accompagne, elle, son mari, son fils d’un an et sa fille de cinq ans.
Un des problèmes majeurs des grands parcs d’attraction est la file d’attente inévitable que l’on doit subir pendant des heures pour profiter des deux ou trois minutes de grand frisson. Inévitable, pas tant que ça.. A Disney World aux Etats-Unis, un système à mille lieux de la morale s’est mis en place. Un “marché noir des guides” s’est mis en place. Pour 130$ par heure, des mères saines et fortunées “louent” les services de personnes handicapées ou à mobilité réduite pour permettre à leur bambins de ne pas rentrer en pâmoison à la vue de la file d’attente, que tout le monde fait. Le New York Post a enquêté sur le phénomène et le reportage est édifiant.
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