-
Les Etats-Unis autorisent un vaccin contre la grippe à s'administrer soi-même
-
Des pistes pour améliorer diagnostic et traitement des troubles de l'attention chez l'enfant
-
Les Etats-Unis accusent les géants des réseaux sociaux de "surveillance de masse"
-
Pêcher "moins et mieux": L'appel de scientifiques pour une pêche vraiment durable
-
Une collection de pièces de monnaie rapporte 14,8 millions d'euros aux enchères
A Kikinda, dans le nord-est de la Serbie, il est désormais interdit sous peine d’une sévère amende, d’importuner de quelque manière que ce soit les centaines de hiboux moyen-duc qui s’abritent chaque hiver dans les arbres du centre-ville.
La municipalité a indiqué à l’AFP avoir adopté un arrêté aux termes duquel, il est interdit d’organiser des manifestations publiques, de mettre en place des enseignes lumineuses à proximité des arbres où nichent ces rapaces, ou de les déranger par des cris voire tout autre moyen.
Les contrevenants risquent des peines d’amende pouvant aller jusqu’à 10.000 euros.
La municipalité a affiché le texte de l’arrêté sur des panneaux dans le centre de cette petite ville d’environ 40.000 habitants.
“Les hiboux moyen-duc sont une espèce protégée, ce qui justifie l’adoption de cet arrêté afin de préserver ce phénomène insolite, emblème de notre ville”, a déclaré à l’AFP Marijana Ilicin, directrice du bureau touristique local, à l’origine de cette initiative.
Les autorités locales ont évalué à quelque 700 le nombre de hiboux moyen-duc s’emparant du centre-ville de Kikinda de novembre à mai.
Deux garçons de 14 et 15 ans et une jeune fille de 16 ans ont été arrêtés au Québec jeudi 17 janvier et risquent deux ans de détention pour des propos échangés sur Facebook, où ils ont envisagé de tuer des membres du personnel et des élèves de leur école, a annoncé jeudi la police.
Le secrétaire général de la commission scolaire dont dépend l’établissement d’enseignement secondaire, Jean-François Parent, a indiqué que des “menaces de mort” avaient été proférées et que les jeunes gens “avaient un plan”.
Aucune arme n’a été découverte lors de la fouille de leurs casiers, mais les trois jeunes pourraient être accusés de “complot pour meurtre”, risquant ainsi une peine pouvant atteindre deux ans de détention dans un centre pour jeunes.
Le directeur de l’école a expliqué avoir fait appel à la police en pensant aux récentes fusillades survenues dans des écoles aux Etats-Unis.